Protection civile : le Burundi face à mille et un défis

La montée des eaux du lac Tanganyika et les crues de la rivière Rusizi a causé le déplacement de 44.222 personnes en 2020 et 35.727 personnes en 2022. Un bilan donné par le ministre chargé de la Sécurité publique lors d’une déclaration faite à la veille de la célébration de la Journée mondiale de la Protection civile.

« La Journée mondiale de la Protection civile offre une occasion de sensibiliser le public sur le rôle de la Protection civile dans la gestion des risques de catastrophes d’une part, et éveiller la conscience des communautés sur la préparation et la réponse aux urgences, d’autre part », a déclaré Gervais Ndirakobuca, ministre chargé de la Sécurité publique.

Selon lui, le dispositif de protection civile est destiné essentiellement à préserver des vies, réduire les pertes matérielles en situation d’urgence et prévenir de nouveaux risques de catastrophes.

Il a fait savoir que le Burundi enregistre un accroissement en nombre et en intensité des risques de catastrophes naturelles dont les effectifs causent des déplacements internes de populations à plus de 90%.
« La montée des eaux du lac Tanganyika et le débordement des eaux de la rivière Rusizi a causé le déplacement de 44.222 personnes en 2020 et 35.727 personnes en 2022 », a-t-il illustré.

Grâce aux appuis financiers de l’OIM, a-t-il précisé, 1.619 ménages locataires des maisons qui ont été détruites par des effets de changement climatique ont été assistés pour trouver des maisons ailleurs.

Une vie non décente des personnes déplacées internes

Le ministre Ndirakobuca a indiqué que le gouvernement burundais est préoccupé par les mauvaises conditions dans lesquelles vivent les personnes déplacées internes. Il se veut rassurant : « Le Burundi ne ménagera aucun effort pour parvenir à l’installation définitive de ces personnes dans des zones sécurisées ».

Il a rappelé que la gestion des personnes déplacées internes se fait dans un contexte particulièrement marqué par la Covid-19. D’où, a-t-il déploré, le financement du Plan de Réponse Humanitaire au Burundi n’a pas dépassé 48% en 2020, tandis que celui de 2021 est resté à 36%. La même situation explique l’augmentation des prix des kits sur le marché international, a-t-il ajouté.

Cependant, il s’est réjoui du rôle important joué par les volontaires de la Croix-Rouge au Burundi dans la gestion des urgences. Il a encouragé les autres organisations à mettre en place des équipes chargées de la prévention des risques et des secours en cas de catastrophes.

Le ministre chargé de la Sécurité publique a fait une promesse : « Le ministère s’assurera que les milieux à forte concentration humaine comme les écoles, les hôpitaux, les marchés, les églises et mosquées, etc, disposent d’éléments formés et pré-positionnés pour des secours d’urgence ». Il a, en outre, annoncé que le dispositif national de la protection civile sera amélioré en formant et en équipant son personnel.

Rappelons que la journée mondiale de la protection civile est célébrée chaque année le 1 mars depuis 1972. Au Burundi, les cérémonies marquant cette journée se dérouleront dans les enceintes de la direction générale de la protection civile et de la gestion des catastrophes sise à Sororezo dans la commune urbaine de Mukaza.

« Protection civile et gestion des personnes déplacées internes : Rôle des volontaires et lutte contre les pandémies », est le thème retenu cette année au Burundi.

Source: IWACU Burundi

Gitega/Rukoba : Elle s’oppose à la décision de la justice

Chassée par son époux qui s’est approprié de tous ses biens, une femme de 12 enfants est aujourd’hui dans l’errance. Sans toit ni revenu, elle vit aujourd’hui dans le désespoir et la dépression. Les amis et les voisins craignent qu’elle ne se suicide.

Depuis début février, Marie-Rose Harerimana erre sur sa colline où elle avait une maison et des enfants. Chassée dans les terres de son père et de son mari par la décision de la justice du Tribunal de résidence de Gitega, cette femme a porté ses doléances à l’administration jusqu’au ministère de la Justice, mais cela n’a pas empêché qu’elle soit expulsée de sa maison le 5 février 2022. D’après cette mère de 12 enfants, elle a essayé de montrer aux juges que son mari était en train de mentir, sans succès. « Quand j’ai montré tous les papiers que la parcelle où je suis allée me réfugier appartenait à mes parents, ils brandissaient toujours la communauté des biens », fulmine-t-elle. Pour le moment, elle est avec sa fille cadette, elles n’ont plus où habiter. Même ses autres enfants ne peuvent pas les aider, ils ont peur des représailles de leur papa.

« Ils ne peuvent lever le petit doigt pour soutenir notre mère. Quand j’ai osé dire non, mon père m’a chassée de la maison », déplore Adeline la cadette de Marie-Rose. Selon elle, les juges n’ont pas lu le droit sinon ils auraient compris que son père est un escroc et veut s’approprier de tous les biens de la famille y compris même ceux de sa belle-famille.

« C’est une attestation trafiquée pour épouser une autre femme »

Interrogés, les voisins et certains hommes et femmes de droit indiquent que cela dépasse l’entendement. Pour eux, ceux qui ont mis en exécution la sentence ternissent l’image de la justice.

« Si les juges voulaient appliquer la communauté de biens pendant le divorce, Marie-Rose aurait aussi bénéficié sur les terres et les propriétés de son mari au lieu de tout lui prendre », charge un avocat du barreau de Gitega. Même son de cloche chez la population de Rukoba. Elle fait savoir que dans ce procès plusieurs irrégularités se sont observées. Elle cite notamment la prononciation de divorce sans le consentement de la femme. « C’est une attestation trafiquée pour épouser une autre femme car Marie-Rose n’a jamais été associée dans les procédures. L’un des conjoints ne peut pas obtenir le divorce alors que l’autre partie n’est pas informée », soutient François.

Interrogé sur toutes ces allégations, Emile Sindayigaya n’a pas daigné répondre à aucune question. Non seulement il a mis en avant le manque du temps mais aussi il répétait que la justice lui a donné raison et qu’il ne voyait aucune raison de revenir  sur le passé.

Source: IWACU Burundi

Gasenyi-Nyakabondo : La population réclame la loi révisée sur les indemnités

Dans une réunion avec la commission chargée de faire l’inventaire des parcelles sur le site de 160 hectares se trouvant dans le périmètre du palais présidentiel sur la colline Gasenyi en commune Mutimbuzi, les habitants ont demandé que leurs indemnités soient calculées sur base d’une loi révisée et actualisée.

Des centaines d’habitants avaient répondu massivement à cette réunion de ce 28 février. L’objectif était de présenter à la population une équipe technique qui fera un inventaire des propriétaires des 160 hectares se trouvant aux alentours du palais présidentiel, leurs biens et immobiliers pour activer la procédure de leur indemnisation et expropriation. La population a exprimé ses inquiétudes avant de revendiquer la nouvelle loi sur les indemnités pour procéder à l’identification.

« La loi de 2008 précise que l’exproprié dont la propriété a une valeur de 10 millions et plus reçoit une indemnité de 250 mille BIF par are. Cela veut dire que celui qui a 4 ares recevra 1 million BIF », indique Diane Nsabimana, une des représentants des propriétaires de parcelles dans ce site de 160 hectares. Et de poursuivre qu’avec ce coût des indemnités, il serait difficile à la population de trouver d’autres parcelles ailleurs.

Elle a demandé à la commission d’attendre la promulgation de la loi actualisée sur les indemnités avant de faire l’inventaire des parcelles et des biens : « Nous ne sommes pas prêts à coopérer avec l’équipe technique avant que la nouvelle loi soit mise en place ».

En outre, elle appelle le gouvernement à relocaliser les expropriés vers une autre place et leur donner des parcelles égales à celles qu’ils avaient à Gasenyi.

Pour Emmanuel Niyongabo, un autre représentant des propriétaires, appliquer la loi de 2008 sur les indemnités serait avancer à reculons pour les propriétaires des parcelles dans ce périmètre.
Il demande au gouvernement à procéder à la promulgation de la nouvelle loi sur les indemnités pour que cette dernière constitue la base de la procédure d’expropriation.

Et de rappeler qu’en cas d’urgence, l’expropriation est exécutée après paiement des indemnités comme le stipule l’article 427 du code foncier de 2011 : « La décision d’expropriation fixe le délai de déguerpissement. En cas d’urgence constatée et dans tous les cas après paiement de l’indemnité de l’expropriation, l’autorité compétente peut ordonner le déguerpissement préalable de l’exproprié ».

Des pertes déjà enregistrées

La population fait constater qu’elle a déjà enregistré des pertes énormes. « Depuis 2009, on a suspendu toutes les activités dans ce périmètre. Ceux qui avaient contracté des crédits auprès des banques ont continué de les rembourser alors qu’ils ne peuvent pas construire ni exercer d’autres projets de développement », fustige Désiré-Louis Nizigiyimana, propriétaire d’une parcelle dans ce périmètre.

Selon lui, certains habitants vivent dans des tentes comme ils ne sont pas autorisés de réhabiliter leurs maisons détruites. Et de demander si les indemnités incluront les dédommagements sur les pertes enregistrées.

En outre, la population doute que les constructions qui y seront érigées ne soient plus d’intérêt public : « Dans une lettre adressée au ministre chargé des Infrastructures et à celui chargé de l’Environnement, le chef de cabinet civil du président de la République a précisé qu’il y aura construction des infrastructures pour les hauts fonctionnaires de l’Etat dans cette espace de 160 hectares. Parmi nous, il y en a aussi des fonctionnaires. En aucun cas, l’Etat peut exproprier quelqu’un pour donner la propriété à une autre personne ».

Emmanuel Ndorimana, secrétaire permanent au sein du ministère de l’Environnement, de l’Agriculture et de l’Elevage a tenu à tranquilliser : « La commission vient pour l’identification des propriétaires afin de faire l’inventaire. Ce n’est pas encore le temps d’octroyer des indemnités. Cette étape nous aide à donner la valeur à chaque propriété. Nous espérons qu’après l’établissement de l’inventaire, la loi révisée sur les indemnités aura été promulguée pour en tenir compte ».

Il fait comprendre que l’attente de la loi actualisée sur les indemnités pourrait faire traîner le processus d’indemnisation, ce qui serait désavantageux pour les habitants. Et de mettre en garde toute personne qui aurait l’objectif de perturber ce projet du gouvernement.

Selon le décret no 100/128 du 23 juin 2016, le site de Gasenyi en commune Mutimbuzi de la province Bujumbura ayant une superficie de 200 hectares est déclaré provisoirement d’utilité publique.

Le décret précise que le site sera aménagé et viabilisé en vue d’y installer les bâtiments de souveraineté dont la présidence de la République du Burundi et les infrastructures connexes.
Les propriétaires des 160 hectares non encore expropriés trouvent que le délai du décret de 2016 a déjà expiré.

Source: IWACU Burundi

Nouvelle délimitation des zones interdites pour les deux-roues et les tricycles : le Groupe Ladak tranquillise

Après l’annonce de la nouvelle mesure de délimitation du champ d’action pour les motos, les vélos et les tuk-tuk, les clients du Groupe Ladak qui avaient passé des commandes des deux-roues et des tricycles et payé en avance réclament leur argent. Le Groupe Ladak leur rassure.

« On voit qu’avec la nouvelle délimitation, l’utilisation des motos et des tricycles en transport ne sera plus rentable. On réclame l’argent que nous avions payé en avance pour l’achat de ces moyens de transport », précise l’un des clients.
La plupart des clients qui avaient payé en avance les motos et les tuk-tuk déplorent la décision du ministre de l’Intérieur, du Développement communautaire et de la Sécurité publique. Ces derniers craignent que l’utilisation de motos et de tuk-tuk pour le transport ne sera plus rémunérateur.

M. I., un autre client rencontré s’interroge : « Pourquoi le Groupe Ladak reste réticent à nous rembourser notre argent ? Il nous disait qu’on devrait payer en avance pour établir une liste d’attente, sinon on allait payer après la livraison de la marchandise ».

Il doute que le Groupe Ladak n’utilise leur argent pour s’approvisionner. « S’il n’utilisait pas l’argent des clients pour s’approvisionner, il devrait rembourser l’argent à ceux qui se sont ravisés », ajoute-t-il.

Pour Joëlle Nkinahamira, chargée de la logistique au sein du Groupe Ladak : « Nos clients ne seront pas victimes de cette décision », fait-elle savoir. Elle ajoute qu’ils attendent pour voir l’évolution de la situation.

Pour rappel, cette mesure de la nouvelle zone de délimitation a été annoncée par le ministre en charge de l’Intérieur, ce 23 février. Il a indiqué qu’elle est prise pour le bien de la ville et qu’elle est technique et non pas politique.

Source: IWACU Burundi

Des Burundais bloqués en Ukraine au 6ème jour des combats

Selon l’ambassade du Burundi à Moscou, il y a de Burundais vivant en Ukraine qui tentent de regagner les pays limitrophes comme la Pologne mais qui sont toujours bloqués dans ce pays en proie aux attaques de l’armée russe.
« Ils éprouvent des difficultés pour sortir du territoire ukrainien. L’ambassade a été saisie par certains citoyens burundais qui vivent en Ukraine et qui tentent d’en sortir pour entrer en Pologne », fait savoir l’ambassadeur du Burundi en Fédération de Russie.

Cela est contenu dans un message envoyé ce 1 mars à la Communauté Burundaise de Russie, de Biélorussie, de Lituanie, de Pologne, d’Estonie et de Lettonie. C’est au 6ème jour des combats qui font rage en Ukraine.

L’ambassadeur Edouard Bizimana indique que deux citoyennes burundaises sont parvenues à sortir de l’Ukraine, elles ont pu entrer en Pologne. « Il y a un autre Burundais qui a regagné la Slovaquie mais d’autres sont toujours bloqués en Ukraine ».

Il en appelle à une synergie des ambassades burundaises en Turquie, en Russie et dans d’autres pays d’Europe pour assister les citoyens burundais en provenance de l’Ukraine.

Signalons que l’Union africaine (UA) a condamné le « comportement raciste » des pays européens à l’égard de ses citoyens résidant en Ukraine. Dans un communiqué rendu public lundi soir, l’UA a rejeté ces pratiques et les a qualifiées d’inacceptables, affirmant qu’il s’agissait de violation du droit international.

L’UA a encore souligné que la loi accordait à toutes les personnes de toutes nationalités et de toutes les ethnies le « droit de fuir » tout pays en état de guerre.

Source: IWACU Burundi

‫شركة كاسيو تطلق السلسلة الأولى لساعات MR-G التي تتميز بالتصميم الأيقوني لساعات G-SHOCK الأصلية

مكونات متعددة للتشطيب الدقيق مع مهارة تلميع متقنة

طوكيو، 1 مارس 2022 / PRNewswire / — أعلنت شركة كاسيو للكمبيوترات المحدودة ( Casio Computer Co., Ltd .) اليوم عن إطلاق إضافة جديدة إلى مجموعة MR-G ، والتي تعد الخط الرئيسي للعلامة التجارية لساعات G-SHOCK المقاومة للصدمات. تعد ساعة MRG-B5000 الجديدة هي أول ساعة من طراز MR-G التي تتميز بالتصميم الأيقوني لأول ساعة من مجموعة G-SHOCK .

MRG-B5000B

أُطلقت أول مجموعة ساعات G-SHOCK من نوعها في 1983 في إشارة إلى تصميم DW-5000C ، ويجلب طراز MRG-B5000 الآن تألقًا مذهلًا وتميزًا جديرًا للساعة المقاومة للصدمات من خلال استخدام معادن متطورة ومنتهية بمهارة تلميع متقنة.

طورت شركة كاسيو الهيكل متعدد الواقيات الجديد لتطبيق تشطيبات مصقولة متطورة حتى على أصغر الزوايا لهيكل الإطار المعقد، والذي يتكون من 25 مكونًا مختلفًا. يشتمل الهيكل الجديد على أجزاء ماصة للصدمات في الإطار متعدد المكونات لضمان مقاومة ممتازة للصدمات، ويسمح في نفس الوقت بتطبيق التشطيبات المصقولة على كل مكون بمفرده، وصولًا إلى أكثر المناطق صعوبة، للحصول على شكل نهائي رائع الجمال. تستخدم المجموعة هيكلًا خاصًا أيضًا، مع مسامير منفصلة منغرسة في ثقوب دائرية في كل رابط معدني، للسماح بتلميع تفصيلي للحصول على شكل نهائي جميل أيضًا على المجموعة.

MRG-B5000B / MRG-B5000D

تظهر جودة مهارة التلميع المتقنة حقًا على المواد المتطورة المصنوعة في اليابان والمستخدمة في مجموعة MRG-B5000 . يستخدم COBARION ، الذي يتميز بصلابة تبلغ حوالي أربعة أضعاف صلابة التيتانيوم الخالص وبريق لامع مماثل للبلاتينيوم، للسطح العلوي من الإطار. صنعت المجموعة من DAT55G ، وهي سبيكة تيتانيوم أقوى بثلاث مرات من التيتانيوم الخالص وفعالة للغاية، مما يجعله مقاومًا للخدش ويضمن شكل نهائي جميل ويدوم لفترة طويلة.

تجتمع مواد التلميع المصنّعة ببراعة والمواد المختارة بدقة معًا لإنشاء ساعة جديرة بهذا التصميم الأصلي، ولكن بجودة العلامة التجارية لمجموعة MR-G ، التي تتربع على قمة مجموعة ساعات G-SHOCK المتنوعة.

Multi-Guard Structure comprising 25 different bezel components

عندما يتعلق الأمر بالوظيفة، يتميز MRG-B5000 بمعايرة يتم التحكم فيها عن طريق الراديو والتواصل باستخدام تطبيق Smartphone Link . تتصل الساعة بتطبيق الهاتف الذكي CASIO WATCHES المخصص لضبط الوقت الصحيح تلقائيًا. ويأتي أيضًا مزودًا بنظام شحن شمسي ومصباح ثنائي باعث للضوء عالي السطوع لمزيد من الراحة.

صُنعت MRG-B5000 في خط الإنتاج المتميز الراقي في شركة Yamagata Casio ، “المصنع الأم” لإنتاج ساعات كاسيو، كما هو الحال مع ساعات MR-G الأخرى.

COBARION هي علامة تجارية لسبائك الكوبالت والكروم المصنعة حصريًا بواسطة شركة Eiwa Corporation .

  DAT هي علامة تجارية مسجلة لشركة Daido Steel المحدودة، في اليابان.

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