Le 1er ministre Alain Guillaume Bunyoni appelle les fidèles de l’EEA à se convertir

Le Premier Ministre Alain Guillaume Bunyoni et son épouse se sont associés dimanche 06 mars 2022 aux fidèles de l’Eglise Evangélique des Amis (E.E.A) de Kamenge en commune Ntahangwa de la Mairie de Bujumbura, dans la célébration dominicale.

Le Représentant légal de l’Eglise évangélique des Amis Louis Pasteur Nizigiyimana a indiqué à cette occasion qu’à part l’évangélisation, cette Eglise contribue dans les secteurs de l’éducation et de la santé. Et d’ajouter qu’au niveau national, cette église compte plus de 58 mille fidèles.
Louis Pasteur Nizigiyimana a en outre fait savoir que l’Eglise évangélique des Amis est entrain de construire différentes infrastructures dont des maisons d’accueil à Kamenge, une salle de conférences et d’autres églises aux environs de l’Eglise évangélique des amis de Kamenge.

S’appuyant sur la parole de Dieu tirée de l’évangile de Marc 8:34-38, le Premier ministre Alain Guillaume Bunyoni a appelé les fidèles de l’église évangélique des amis de Kamenge à se convertir, à prier pour leurs leaders et à couper court avec les mauvais comportements.

Alain Guillaume Bunyoni a également exhorté ces fidèles à la crainte de l’Eternel, à respecter ses commandements, à témoigner de la bonté divine et à prier sans cesse.

Le Premier ministre a clôturé sa prédication en demandant aux chrétiens de prier pour les familles, qui sont le fondement de la communauté chrétienne. Il a aussi invité les chrétiens à couper court avec les mauvais comportements dont l’adultère, la mauvaise compagnie et l’oisiveté, qui sont pour lui, actuellement à l’origine de la dislocation des ménages.

Source: Radio Television of Burundi

La digitalisation du système de santé, une solution pour l’efficacité des services sanitaires

Le ministère de la Santé publique et de la lutte contre le Sida en partenariat avec Enabel, Agence belge de développement, a organisé un atelier de capitalisation des expériences de la digitalisation du 24 au 25 février à Gitega au centre du pays. Les participants ont discuté des avantages de la digitalisation des structures sanitaires et les défis à leur mise à l’échelle. Des recommandations ont été formulées à la clôture pour répondre aux difficultés identifiées.

« Aujourd’hui, une vingtaine d’hôpitaux sont informatisés. D’ici la fin de l’année, 60 % des hôpitaux au Burundi seront digitalisés », a révélé Dr Etienne Mugisho Soron’gane, Coordinateur des projets de santé au sein de l’Enabel.
Il a fait comprendre qu’on est aussi en train d’informatiser les centres de santé : « On a déjà l’expérience de 200 centres de santé qui utilisent déjà les outils digitalisés d’aide à la décision médicale. Et on va continuer avec la digitalisation des autres formations sanitaires dans tout le pays ».

Et de souligner qu’avec le plan national de digitalisation des services sanitaires, on a déjà informatisé la maintenance des équipements biomédicaux dans les hôpitaux à travers la gestion de la maintenance assistée par l’ordinateur (GMAO). « On a également mis en place un cursus de formations continues avec l’Institut National de la Santé Publique (INSP) pour former les prestataires de santé sur l’utilisation des applications digitalisées ».

Il a précisé que l’on prévoit la création d’un identifiant unique pour chaque patient : « Dès que le patient entre en contact avec une structure de santé, on lui donne un numéro, ce qui facilitera son identification dans n’importe quelle autre structure sanitaire dans le pays ».

D’autres applications en cours de développement

Selon le coordinateur des projets santé à l’Enabel, il y a pas mal d’autres applications qui sont en cours de développement. Il énumère entre autres la mise en place d’un centre de recherche et de formation en informatique de santé au niveau de l’INSP, l’informatisation de la Carte d’Assurance Maladie (CAM), la gestion de la chaîne logistique et pharmaceutique ainsi que la messagerie professionnelle et un agenda électronique qui seront établis au ministère de la Santé.

En outre, il ajoute que la digitalisation de la surveillance épidémiologique, et la standardisation de la nomenclature pharmaceutique, des examens de laboratoire et des prestations de santé font partie du plan de la digitalisation des services de santé.

Dr Etienne Mugisho estime que la digitalisation réduira de façon drastique l’utilisation des papiers : « La double saisie sur papier et sur outil informatique est révoltante et insupportable pour ceux qui sont basés dans les formations sanitaires. Cela crée une surcharge de travail ». Et de demander que l’effort d’utilisation des outils digitalisés soit salué et récompensé à travers différents mécanismes, notamment par le Financement Basé sur la Performance (FBP).
Il salue la mise en place par le ministère de la Santé d’une plateforme de stockage des données agrégée, ce qui fait que les données soient enregistrées en temps réel.

Selon lui, Enabel a appuyé la volonté du ministère de la Santé de créer un plan national de digitalisation et continuera de travailler avec le gouvernement burundais dans le sens du développement et de la digitalisation.

Les avantages sont énormes

« La digitalisation du système de santé au Burundi est primordiale pour la contribution à l’objectif d’accroissement de l’accessibilité à des services de santé de qualité pour la population », a souligné Jean Baptiste Nzorironkankuze, secrétaire permanent au ministère de la santé publique et de la lutte contre le Sida. Et de renchérir que la digitalisation représente un enjeu majeur dans le monde médical des pays en développement dans l’avenir.

Pour lui, les avantages de la digitalisation des structures sanitaires sont entre autres l’amélioration de la qualité des soins, gains de temps pour les prestataires de santé et les patients, mise en place de protocoles thérapeutiques standards, ainsi que l’accessibilité à des données de qualité.

Selon lui, la digitalisation permet aux structures des soins d’augmenter leurs ressources financières et revenus : « Il y a une bonne traçabilité des fonds et recettes qui entrent dans la structure. Ainsi, il n’y a plus moyen de détournement des fonds ».

« La digitalisation du système de santé permet aux formations sanitaires (FOSA) d’acquérir une meilleure gestion des ressources financières notamment grâce à un enregistrement des recettes, à l’accélération du processus de recouvrement en cas de services à crédit, mais également à l’augmentation de la fréquentation enregistrée et d’une meilleure gestion des médicaments », a indiqué le secrétaire permanent au ministère de la Santé publique et de la lutte contre le Sida.

Il a expliqué que la digitalisation des services sanitaires a aussi des impacts non négligeables sur l’environnement : « Cette digitalisation permet, d’une part, une diminution considérable de la quantité de supports papiers actuellement utilisés par les formations sanitaires et d’autre part, le personnel qui passe à l’utilisation des outils informatiques gagne en estime de soi ».

En plus, fait-il savoir, l’informatisation permet aussi aux responsables des structures sanitaires de faire un bon suivi du personnel de la structure : « Leur prestation et qualité sont remarquées du jour au jour ».

Néanmoins, il estime que la réussite dans la mise en œuvre de ces réformes exige une amélioration des performances du système national de santé, du système communautaire et une collaboration intersectorielle pour une meilleure santé.
Selon le secrétaire permanent au sein du ministère de la Santé publique, l’objectif est d’étendre cette technique d’informatisation dans tous les hôpitaux et centres de santé dans tout le pays.

Des recommandations

Les participants dans l’atelier ont discuté sur les défis et ont formulé des recommandations pour la réussite et l’efficacité du plan national de digitalisation des services sanitaires.

« Il ne faut pas s’arrêter à informatiser les hôpitaux de district. Il faut étendre cette informatisation au niveau des hôpitaux communaux, des centres de santé ainsi que les formations sanitaires privées », recommande Dr Etienne Mugisho, arguant qu’on peut y arriver même si cela coûte assez cher.

Il explique que le coût d’informatisation d’un hôpital s’élève à plus ou moins 100 mille euros mais que pour lui, il y a moyen de passer à l’extension de cette informatisation de façon modulaire et échelonnée.
Et d’appeler les partenaires techniques et financiers à s’inscrire dans le plan national de développement de l’informatique sanitaire : « Il ne faut pas qu’ils continuent à rendre complexes les applications informatiques au niveau du pays ».

Les autres participants recommandent le renforcement des compétences des maintenanciers à tous les niveaux et élaborer un plan d’amortissement des équipements. Pour eux, il faut mettre en place un site web et une communauté de pratiques sur la digitalisation du secteur de la santé au Burundi ainsi qu’une interopérabilité de toutes les applications.

Signalons que le plan de digitalisation des services sanitaires s’étend de 2014 à 2024. Il s’inscrit dans le programme d’appui au système national d’informations sanitaires à travers la digitalisation, un projet du gouvernement du Burundi financé avec l’appui du gouvernement belge à travers son agence de développement Enabel.


Source: IWACU Burundi

Médias sensibles au genre, encore du pain sur la planche !

Au moment où l’Association des femmes journalistes (AFJO) fête son jubilée d’argent, elle est encore loin d’atteindre sa principale mission : le respect de la dimension genre dans les médias. Eclairage des concernés sur les défis persistants.

Sur 157 médias locaux reconnus par le Conseil national de la communication (CNC), seulement 28 sont dirigés par des femmes. Sur 37 radios émettant sur le territoire national, 4 sont dirigés par une femme.

Toutefois, au cours de ces quatre dernières années, le taux de représentativité des femmes à la tête des médias est passé de 6% en 2017 à 9% aujourd’hui, d’après le secrétaire exécutif de cette association, Désiré Ndanziza. « Certes ce taux reste encore très faible, surtout par rapport aux 25 années de l’existence de l’AFJO».

Il assure que durant ces cinq dernières années, l’AFJO a réellement fait un plaidoyer auprès des responsables des médias. Dans plusieurs d’entre eux, le constat est que les directeurs n’ont pas le pouvoir de recruter. Par exemple, dans les médias publics, les responsables affirmaient qu’il faut d’abord que ces femmes adhèrent aux partis politiques pour être nommées à la tête du médium. « Et cela constitue un grand obstacle pour l’association car difficile de concilier le militantisme et le journalisme».

Dans les médias privés, observe le secrétaire exécutif de l’AFJO, l’obstacle est que leurs promoteurs ou leurs créateurs sont uniquement des hommes, jusqu’ici. Et certains hommes ne sont pas sensibles à ces questions d’équilibre du genre. Certains ont peu d’estime envers les femmes, craignant que leur entreprise ne se développe pas si elle est dirigée par une femme.

L’autre défi est le manque de disponibilité et d’estime de soi chez les femmes journalistes elles-mêmes, selon M. Ndanziza. Certains directeurs disent avoir tenté de nommer une femme à la tête d’une rédaction. « Mais elles refusent soi-disant qu’elles ne sont pas sûres d’être capable de gérer une rédaction».

Un métier à moult défis pour les femmes

« Au début de mon métier en 2002, je ne l’oublierai jamais, c’était très pénible de travailler en province. Il n’y avait pas de réseau suffisant à l’intérieur du pays. Je devais grimper en haut d’un arbre pour pouvoir m’enregistrer. Ce faisant, ce son était comme celui du studio », confie Spès Caritas Kabanyana, correspondante de la radio Isanganiro dans la province Bubanza.

Journaliste de terrain, elle confie que ce travail est très difficile, surtout pour une femme. Elle doit sillonner les collines sur une taxi-moto, toute la journée. « Quand je suis enceinte, c’est pire. Les gens de la communauté n’en reviennent pas. Ils me pointent du doigt : ‘’Regarde cette femme qui est toujours dans la rue, sur une moto, dans son état…’’» Elle affirme qu’elle fait face à beaucoup de préjugés dans la communauté.

Pour elle, être une femme journaliste demande une grande force physique et surtout morale. « Beaucoup de personnes m’ont découragée, mais j’ai continué par passion du métier».

Parmi les grands maux dont souffrent les femmes journalistes, le harcèlement sexuel aussi. Une petite enquête de l’AFJO réalisée en novembre 2020 auprès de 40 journalistes a révélé que 17% des journalistes sondées ont été victimes de harcèlement sexuel dans leurs médias.

La journaliste Agathonique Barakukuza, 28 ans d’expérience, qui a mené ce sondage, estime que ce problème existait depuis longtemps, mais les victimes n’osaient pas le dénoncer.

Cette ancienne présidente de l’AFJO (2014-2017) observe, cependant, une grande amélioration, au fil du temps, par rapport à la considération de la femme dans les médias. Avant la création de l’AFJO, les femmes journalistes faisaient face à de nombreux défis. « Une femme journaliste était considérée comme une dépravée. Une personne qui ose », témoigne cette journaliste de l’ABP depuis 1994.

A cette époque, les femmes journalistes étaient moins nombreuses et aucune ne dirigeait un médium, d’après Mme Barakukuza. Elles ne se sentaient pas au même pied d’égalité que leurs collègues hommes du fait qu’elles étaient considérées comme incapables de traiter de sujets sensibles dans les domaines politique et sécurité, et de grands dossiers. « Or, ces hommes qui devaient traiter ces dossiers ‘’sérieux’’ avaient suivi la même formation que les femmes».

Une association qui change la donne

Agathonique Barakukuza affirme qu’à cette époque, les responsables médiatiques ne comprenaient pas que les femmes journalistes avaient droit au congé maternité : « Je me rappelle que mon rédacteur en chef a écrit sur le bulletin de notation que mon congé de maternité a eu un mauvais impact sur ma production. J’ai été choquée. »
C’est notamment ces défis qui ont motivé la création de l’AFJO, selon Mme Barakukuza, membre fondateur. Actuellement, les femmes journalistes ont fait leurs preuves.

Elle reconnaît que ces défis ne sont pas encore effectivement levés, 25 ans après la création de l’AFJO. Mais elle souligne des progrès remarquables : « L’on voit aujourd’hui des femmes qui s’occupent des rubriques politiques. Des femmes qui dirigent les médias ou responsables des rédactions. Ce qui était impensable, il y a une vingtaine d’années. »

Le secrétaire exécutif de l’AFJO, Désiré Ndanziza, évoque de nouvelles stratégies de l’AFJO pour améliorer davantage la donne. D’après lui, l’association est en train de mettre en place des journalistes points focaux de l’AFJO dans chaque média. Ce sont eux qui feront le plaidoyer, qui influenceront la prise en compte du genre dans leurs rédactions.
Il est aussi prévu le renforcement des capacités des journalistes sur l’intégration du genre dans les productions médiatiques. « Nous avons constaté que les journalistes ne comprennent pas comment intégrer le genre dans une production», a-t-il conclu.

Source: IWACU Burundi

Nyxoah to Present BETTER SLEEP Data, Host Physician Events at World Sleep Congress 2022

Nyxoah to Present BETTER SLEEP Data, Host Physician Events at World Sleep Congress 2022

Mont-Saint-Guibert, Belgium – March 7, 2022, 10:30pm CET / 4:30pm ET – Nyxoah SA (Euronext Brussels/Nasdaq: NYXH)(“Nyxoah” or the “Company”), a medical technology company focused on the development and commercialization of innovative solutions to treat Obstructive Sleep Apnea (OSA), today announced that the Company will showcase data from its BETTER SLEEP clinical trial in a poster presentation and host physician events at the 16th World Sleep Congress 2022, which is being held March 11-16 in Rome, Italy. World Sleep, a global scientific congress, gathers leaders in sleep medicine and research from around the world for scientific sessions and networking.

On Monday, March 14 at 5:30pm CET, BETTER SLEEP study data will be presented during a poster session.

Nyxoah will also host two other physician events on Sunday, March 13. In the morning, members of Nyxoah’s clinical and R&D teams will host a scientific advisory board session with a group of U.S. and international key opinion leaders. At 7:00pm CET that evening, Nyxoah will host an event for physicians entitled “Shifting Paradigm in OSA Therapy with Genio”. Nyxoah expects approximately 40 physicians from the U.S. and Europe to attend this event.

“We are proud to participate in the World Sleep Congress and to showcase Genio and our strong clinical data to this global community of KOLs,” said Olivier Taelman, Chief Executive Officer of Nyxoah. “We are also excited to be able to offer Genio to CCC patients in Europe, and having received Breakthrough Device Designation from the U.S. FDA, we are working hard to secure an IDE approval to conduct a clinical trial for CCC patients in the U.S.”

About Nyxoah
Nyxoah is a medical technology company focused on the development and commercialization of innovative solutions to treat Obstructive Sleep Apnea (OSA). Nyxoah’s lead solution is the Genio® system, a patient-centered, leadless and battery-free hypoglossal neurostimulation therapy for OSA, the world’s most common sleep disordered breathing condition that is associated with increased mortality risk and cardiovascular comorbidities. Nyxoah is driven by the vision that OSA patients should enjoy restful nights and feel enabled to live their life to its fullest.

Following the successful completion of the BLAST OSA study, the Genio® system received its European CE Mark in 2019. Nyxoah completed two successful IPOs: on Euronext Brussels in September 2020 and NASDAQ in July 2021. Following the positive outcomes of the BETTER SLEEP study, Nyxoah received CE mark approval for the expansion of its therapeutic indications to Complete Concentric Collapse (CCC) patients, currently contraindicated in competitors’ therapy. Additionally, the Company is currently conducting the DREAM IDE pivotal study for FDA and US commercialization approval.

For more information, please visit http://www.nyxoah.com/.

Caution – CE marked since 2019. Investigational device in the United States. Limited by U.S. federal law to investigational use in the United States.

Contacts:
Nyxoah
Loic Moreau, Chief Financial Officer
corporate@nyxoah.com
+32 473 33 19 80

Jeremy Feffer, VP IR and Corporate Communications
jeremy.feffer@nyxoah.com
+1 917 749 1494

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Enventure Global Technology Receives API Q2 and ISO 9001:2015 Certifications

Enventure is the first expandable company to receive API Q2 Certification.

HOUSTON, March 7, 2022 /PRNewswire/ — Enventure Global Technology has received the American Petroleum Institute Specification Q2, 1st Edition (API Q2) certification for its Headquarters in Houston, TX. Enventure also received the ISO 9001:2015 certification for both its Headquarters in Houston and Service Center in Katy, TX.

(PRNewsfoto/Enventure Global Technology)

https://www.enventuregt.com/en/news-resources/news/enventure-receives-api-q2-certification-and-iso-9001

API Q2 is the leading standard for Oil & Gas service providers and has been awarded to less than 200 companies. This prestigious quality management system certificate is only awarded to applicants demonstrating robust procedures to ensure personnel competency, risk assessment, contingency planning, and service quality.

https://www.api.org/products-and-services/api-monogram-and-apiqr#tab-apiqr

ISO 9001:2015 is awarded to companies that meet the quality management system standards and demonstrate the ability to consistently provide products and services that meet customer and regulatory requirements.

https://www.iso.org/standard/62085.html

Enventure’s scope of registration and its approved quality management system, for both API Q2 and ISO 9001:2015 certifications, apply to the provision of design, assembly, and service solutions using Solid Expandable Technologies, an Expandable Solid-Steel Liner System for the Oil and Gas Industry.

“This marks a major milestone for Enventure and demonstrates our commitment to Customer Satisfaction and Continuous Improvement,” said Alastair McClean, President & CEO. “This truly reflects the success of our processes, the competencies of our personnel, and our perseverance towards safe and flawless services to our customers. With these certifications, our customers will continue to be assured of receiving the most outstanding Solid Expandable Technologies.”

SameDrift keeps the same Inside Diamater when isolating trouble zones or extending casing strings. https://www.enventuregt.com/en/products-solutions/technology/samedrift%E2%84%A2

ESeal 3.0 Refrac Liner provides permanent mechanical zone isolation for refracturing with the largest inside diameter possible.
https://www.enventuregt.com/en/refrac

Enventure will receive the API Spec. Q2, 2nd Edition certification following a successful audit later this year.

About Enventure
Houston-based Enventure Global Technology, Inc. continues to be the world’s leading provider of solid expandable technology solutions for the energy industry. The company has a global presence with operations in North America, the Middle East, Asia Pacific, South America, Europe, and the Far East. For more information, visit www.EnventureGT.com.

Logo – https://mma.prnewswire.com/media/686180/enventure_Logo.jpg

 

‫شبكة تلفزيون الصين الدولية (CGTN): تسليط الضوء على ضمان الأمن الغذائي في جلستي الصين

BEIJING, 8 مارس / آذار 2022 /PRNewswire/ — تعهدت الصين بإيلاء أهمية أكبر لتحسين القدرة الإنتاجية الزراعية الشاملة عندما يجتمع المشرعون الوطنيون والمستشارون السياسيون في البلاد في Beijing لتخطيط أولويات التنمية لعام 2022.

وفي اليوم الثاني من الدورة الحالية لمجلس الشعب الصيني، زار الرئيس شي جين بينغ (Xi Jinping) يوم الأحد مستشارين سياسيين وطنيين من قطاعات الزراعة والرعاية الاجتماعية والضمان الاجتماعي وحث على عدم التراخي في قضية الأمن الغذائي.

وقال إن قضية الأمن الغذائي من بين الاهتمامات الأساسية للبلاد، متسائلًا: “من سيطعم الصين؟”

“من سيطعم الصين”

من بين جميع قضايا الدولة، يأتي الغذاء على رأس الأولويات، فالطعام هو الضرورة الأساسية للشعب. وقال الرئيس شي إنه قبل سبعة عقود، كان عدد سكان البلاد الذين يعانون من نقص التغذية يبلغ 400 مليون نسمة، ولكن اليوم يأكل سكانها البالغ عددهم 1.4 مليار نسمة بشكل جيد ولديهم مجموعة كبيرة من الخيارات.

وأضاف أن الصين قادرة على إطعام خمس سكان العالم من خلال ما تتمتع به من نسبة تسعة في المئة من الأراضي الصالحة للزراعة في العالم وستة في المئة من موارد المياه العذبة.

وحذر من أنه على الرغم من توجه الصين نحو مجال التصنيع، لا ينبغي أبدًا التقليل من أهمية قضية الإمدادات الغذائية، ولا يمكننا الاعتماد فقط على السوق الدولية لحلها.

وخلال مؤتمر العمل الريفي المركزي السنوي الذي اختُتم للتو، أكد القادة الصينيون مجددًا أنه يتعين على البلاد تأمين إمداداتها الغذائية الخاصة بها في جميع الأوقات، وحثوا جميع الأطراف المعنية على لعب دورها في حماية الأراضي الزراعية وتحقيق الاستقرار في إنتاج الحبوب.

وظل موقف الصين بشأن ضمان الأمن الغذائي كما هو دون تغيير على مر السنين. وفي مؤتمر العمل الاقتصادي المركزي السنوي الذي عُقد في عام 2013، قال الرئيس شي إن ضمان الأمن الغذائي سيظل مهمة طويلة الأجل. ولذلك، من الضروري أن يقدم البلد الدعم الكامل والطويل الأمد من أجل الزراعة، ولا سيما في إنتاج الحبوب.

“العلم والتكنولوجيا هما أساس الأمن الغذائي”

وشدد الرئيس شي على أن أمن موارد البلازما الوراثية يرتبط بالأمن القومي.

وقال إنه في ظل تطوير صناعة البذور في البلاد، هناك حاجة إلى بذل جهود لزيادة الاعتماد على الذات في تكنولوجيا البذور وضمان الدعم الذاتي لموارد البذور في البلاد والتحكم بها بشكل أفضل، مسلطًا الضوء على أهمية إصلاح الآلية العلمية الزراعية والدور الرئيسي للمؤسسات في الابتكار.

وأضاف أن وقف هدر الطعام في صناعة المواد الغذائية مهمة طويلة الأمد، ويجب علينا أن نبذل جهود مستمرة ونعمل على خلق مجتمع يحافظ على الموارد.

تهدف الصين إلى إنشاء نظام حديث للابتكار في العلوم والتكنولوجيا الزراعية بحلول عام 2025، وفق مبدأ توجيهي للتنمية صادر عن الأكاديمية الصينية للعلوم الزراعية (CAAS) للخطة الخمسية الرابعة عشرة.

وخلال المناقشات، أشار الرئيس شي كذلك إلى أنه يجب بذل جهود مستمرة لتعزيز التنمية عالية الجودة للضمان الاجتماعي، ويجب مواصلة تطوير شبكة أمان اجتماعي أفضل لضمان رفاهية الشعب.

https://news.cgtn.com/news/2022-03-07/Ensuring-food-security-highlighted-in-China-s-Two-Sessions-18cS6l7P3Ow/index.html

فيديو – https://www.youtube.com/atch?v=jUe5sBuCNMk