La Première Dame SE Angeline NDAYISHIMIYE contribue pour le bien-être des malades mentaux

Il s’est tenu, ce lundi 24 octobre 2022 à Gitega, un Atelier National sur la Santé Mentale au Burundi, sous le thème: » Faire de la santé mentale et du bien-être pour tous une priorité mondiale ». C’était sous le haut patronage de Son Excellence la Première Dame de la République du Burundi et Présidente de la Fondation Bonne Action UMUGIRANEZA.

Ces activités ont été organisées en marge de la célébration de la journée mondiale dediée à la santé mentale qui normalement est célébrée le 10 octobre de chaque année. Au Burundi cette journée sera célébrée à Ngozi en date du 25 octobre 2022.

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé « OMS », la santé mentale est un « état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés normales de la vie, de travailler avec succès et de manière productive, et d’être en mesure d’apporter une contribution à la communauté ».

Au cours de cet atelier, les présentateurs sur différents thèmes ont montré que les causes des maladies mentales sont notamment les violances basées sur le genre, les effets des guerres civiles, l’injustice sociale, la consommation des drogues…etc

 Tous les intervenants au secteur de la santé mentale présents à cet atelier ont insisté sur la nécessité de création d’un Programme National de Santé Mentale.

Dans son discours, la Première Dame SE Angeline NDAYISHIMIYE a indiqué que les préjugés et les mauvaises croyances au tour de la maladie mentale engendrent de la stigmatisation et des violences de tout genre envers les malades et le recours aux soins appropriés est aussi compromis. Du point de vue des violences, la femme reste la plus vulnérable à cause des violences sexuelles et autres violences basées sur le genre dont elle peut être victime pendant les moments d’inconscience et surtout d’errance pathologique.

 Elle a signalé que la santé mentale, couplée avec le bien-être en général est un domaine très large et multisectoriel qui nécessite une implication et une collaboration plus large et mieux coordonné dans le cadre d’un programme national dans la mesure du possible.

Au moment où il s ‘observe moins de structures de soins de santé qui traitent les malades mentaux, la Première Dame a  lancé un appel aux intervenants en santé mentale à plus d’action dans ce secteur. Elle a aussi proposé à ce que chaque structure de soins de santé au Burundi ait au moins un psychologue pour écouter et orienter les patients.

Elle a en outre demandé à tous les Burundais de bien prendre en charge les malades mentaux et de savoir que la maladie mentale est guerrissable si elle est bien traitée.

Vous saurez que la Première Dame à travers la Fondation Bonne Action UMUGIRANEZA a déjà mis en place à Ngozi, un centre médicale d’écoute et de prise en charge prise en charge psychosociale.

Source: Ntare Rushatsi House

« Le pays a besoin de moderniser ses industries »

Lors d’une réunion tenue samedi 22 octobre avec les propriétaires des unités de transformation, le ministre de l’Intérieur, du Développement Communautaire et de la Sécurité Publique, Martin Niteretse les a exhortés à travailler en respectant les normes.

« Deux personnes sont déjà mortes à Rumonge et à Nyanza-lac du fait qu’ils ont consommé des produits ne remplissant pas la qualité », a fait remarquer le ministre Niteretse.

Il a fait savoir que les producteurs transforment des boissons qui ont des effets négatifs sur la santé et les mettent sur le marché sans consulter le BBN, le Bureau burundais de normalisation, qui contrôle la qualité.

Selon lui, les transformateurs ne respectent pas des procédés techniques. Il n’a pas hésité à donner des exemples : « Ils mélangent de l’eau, du piment, d’une poudre d’origine douteuse et de la levure pour fabriquer des boissons soi-disant jus à base de gingembre. Et des gens meurent et d’autres s’affaiblissent à cause de ces mauvais breuvages », s’indigne le ministre Niteretse.

D’après lui, la plupart de ceux qui fabriquent de vin de banane ne détiennent pas des plantations de bananeraies. « Ils ne s’approvisionnent pas de bananes sur le marché. Ils mélangent du sucre dans leur composition, ce qui aggrave la santé des Burundais ».

Il informe que ’’ces producteurs corrompent des agents de l’Etat pour qu’ils autorisent leurs unités de transformation à travailler au Burundi en toute légalité’’.

Pour le ministre de l’Intérieur, du Développement Communautaire et de la Sécurité Publique, ils implantent leurs entreprises dans les quartiers résidentiels et installent les équipements dans une pièce d’une maison. « Les tenanciers n’acceptent pas que les bureaux chargés de contrôler la qualité accompagnent leurs unités de transformation », déplore-t-il.

Selon lui, leurs produits ne remplissent pas les normes internationales. « Ils ne peuvent pas être écoulés en dehors du Burundi pour apporter des devises ».

Le ministre Niteretse confie que les responsables de ces entreprises n’obéissent pas les mesures de protection de l’environnement. A défaut de l’espace de traitement de déchets, ils déversent les eaux usées dans des caniveaux.

Il a mis en garde tout chef d’entreprise utilisant des documents qui n’ont pas de références ministérielles de se conformer à la loi avant le 28 octobre de cette année. « Le non-respect des mesures va entraîner la fermeture de l’entreprise ».

Les participants à cette rencontre ont demandé au BBN d’effectuer des visites au moins une fois par semaine enfin d’identifier ceux qui travaillent dans l’informel.

Parmi 700 unités de transformation enregistrées au sein du ministère en charge de l’industrie, seules 163 d’entre elles, essaient de travailler en bonne et due forme.

Source: IWACU Burundi

William Ruto : « Une communauté est-africaine sans frontières améliorera le climat des affaires »

Le président William Ruto a déclaré que la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) n’atteindrait son potentiel que si elle supprimait les obstacles aux frontières qui empêchent le libre-échange et la circulation des civils.

Le Chef de l’Etat Ruto a déclaré, lors de la célébration du 59è anniversaire des Héros de l’indépendance, qu’Une Communauté Est-Africaine sans frontières permettra une libre circulation des personnes, des biens et des services dans toute la région, créant des opportunités, de la richesse et de la prospérité.

Le président a fait savoir que l’EAC devrait ouvrir la voie à la mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale africaine (AFCFTA). « C’est notre chance pour nous dirigeants et citoyens de l’EAC de travailler ensemble pour que nous puissions changer nos frontières, aujourd’hui perçues comme des obstacles, et les transformer en ponts afin que les biens, les services et les personnes puissent traverser et circuler librement dans la sous-région, sans obstacles », a déclaré le président William Ruto.

Le président William Ruto a exhorté les membres du monde des affaires à tirer parti des protocoles et des plates-formes de l’EAC et de l’ACFTA pour faire des affaires dans la région.

Le Chef de l’Etat kenyan a en outre encouragé la Communauté de l’Afrique de l’Est à s’impliquer dans des projets communs, en particulier dans les secteurs où les pays membres ont beaucoup de matières premières mais pas de main-d’œuvre de transformation.

Selon l’économiste Brian Amwai, l’Afrique de l’Est sans frontières a tout à gagner des relations étroites entre les entreprises, l’industrie et les immigrants entre ses pays. « Géopolitiquement parlant, le moment est propice, les arguments économiques sont solides et les étoiles politiques nationales semblent bien alignées dans la plupart des pays de l’EAC. Il est temps de saisir cette opportunité pour que la jeunesse d’Afrique de l’Est en profite ».

En outre, cet économiste soutient que même si les pays d’Afrique de l’Est venaient à faire des affaires sans barrières, les gouvernements devraient être vigilants et faire plus attention aux produits de contrebande.

D’après cet analyste, cette liberté peut être limitée si les gouvernements de ces pays ne parviennent pas à établir des lois commerciales appropriées. « Le commerce de contrebande et de marchandises illégales peuvent prospérer s’il n’y a pas de loi appropriée. De même, nous pouvons être témoins de détournements de biens sans une politique appropriée ».

Source: IWACU Burundi

HRP 2022 Monitoring Dashboard GBV AoR West and Central Africa region

6.9 million people estimated in need of humanitarian assistance for Protection-GBV in the West and Central Africa region in 2022. 70% of these people in need were targeted for humanitarian response plan 2022. A total of US$ 138.7 million required to deliver GBV life-saving assistance and protection to 4.8 million people across the 7 countries including Burkina Faso, Cameroon, Central Africa Republic, Chad, Mali, Niger and Nigeria in the region which have developed Humanitarian Response Plans, only 8.9 per cent of the required funds were met.

Despite funding shortfalls and operational challenges, humanitarian partners assisted 33 per cent of the targeted population. More than 1.6 million people were reached with 202300 Women and Girls including male reached by Specialized GBV services/GBV Response , 68486 reached with GBV Risk Mitigation &Dignity kits/security or hygienic Kits distribution, 891729 reached with GBV Awareness raising & Sensitization , 9035 on Economic and Social empowerment activities, 5213 on Training and capacity-building activities. Mains challenges raised across countries are low coverage of intervention areas by specialized GBV services, critical need to scale up lifesaving GBV services and advocate for access to reach affected communities

Source: UN High Commissioner for Refugees

Under Secretary Nuland Led Interagency Delegation to Mauritania, Mali, Niger, and Burkina Faso

Under Secretary for Political Affairs Victoria Nuland led an interagency delegation to Mauritania, Mali, Niger, and Burkina Faso from October 16-20, 2022.  The delegation included Assistant Secretary of Defense Celeste Wallander, AFRICOM Major General Kenneth Ekman, Deputy Assistant Secretaries of State Michael Heath and Gregory LoGerfo, and National Security Council Director Matthew Petit.

Across the region, Under Secretary Nuland and the delegation met with government, military and civil society leaders to discuss security, governance, and development issues.  They stressed the United States’ commitment to work closely with willing partners to tackle the growing threat of terror across the Sahel.  They underscored that good governance, the rule of law, respect for human rights, education, and a vibrant civil society are key to breaking the cycle of violent extremism.  They also shared U.S. concerns about the destructive role that Wagner forces are playing in Mali.

At each stop, Under Secretary Nuland and the delegation met with civil society activists, election officials, entrepreneurs, and young leaders promoting education, political inclusion, and human rights

Source: US Department of State

In visit to Viet Nam, UN chief stresses critical need for solidarity to overcome climate crisis

UN Secretary-General António Guterres underscored the importance of global solidarity to combat the climate emergency during his visit to Viet Nam, which concluded on Saturday.

Mr. Guterres was in the country to take part in a ceremony to commemorate the 45th anniversary of its membership in the UN.

Tweet URL

He held meetings with the President, Nguyen Xuan Phuc; Prime Minister, Pham Minh Chinh, and other senior officials, including the Minister of Foreign Affairs, Bui Thanh Son, and Environment Minister, Tran Hong Ha.

Protection against tragedy

On Saturday, the UN chief spoke at Viet Nam’s Meteorological and Hydrological Administration in the capital, Hanoi, where he highlighted the critical role of disaster preparedness for all governments.

The goal is to have early warning systems in all countries within five years, “to end the tragedy of people dying, livelihoods being destroyed, because people did not know that tragedy was unfolding,” he said.

“When we have an early warning system, and we know that something terrible is coming, we have time to relocate people, we have time to protect property,” he added.

Mr. Guterres will launch an action plan at the COP27 UN climate conference in Egypt next month to make the five-year deadline a reality.

The Secretary-General also commended Viet Nam’s work to protect the Mekong Delta.

The country’s agricultural and industrial heartland is among the most vulnerable places in the world, as it is exposed to rising sea levels, saltwater intrusion, flooding and changing rainfall intensity.

He said efforts to protect the Mekong Delta were not only important for Viet Nam but could be shared with other nations around the world.

In dialogue with the youth in Viet Nam, Secretary-General António Guterres tells them they are not only the owners of the future but are now also the owners of the present, driving the world in the fight against climate change.

Dialogue with youth

The Secretary-General also participated in a dialogue with Vietnamese youth representatives and UN peacekeepers from the country, held at the Academy of Diplomacy under the theme of ‘Innovation and Participation for an Inclusive and Sustainable Future.’

He stressed that solidarity is the only way to overcome the climate crisis and other current or emerging global challenges.

“We face the risk of new pandemics.  We face climate change and inequality in the world. There is only one way to be able not to be defeated by these challenges, and that is if we join efforts, if we come together. And for that we need to feel true solidarity.”

Later that day, the Secretary-General also posted a message on Twitter to all young people worldwide, urging them not to give up hope.

“You can count on me to amplify your ideas (and) support your efforts to build a better, fairer, more sustainable world for all,” he wrote.

While at the Academy, Mr. Guterres also planted trees alongside Viet Nam’s Foreign Minister, Bui Thanh Son.

UN-Viet Nam partnership

The Secretary-General arrived in Viet Nam on Friday and participated in the ceremony celebrating its 45 years as a UN Member State.

He praised the country’s strong partnership with the UN, and its “remarkable journey” during this period, which he described as a story of transformation and hope, written by the Vietnamese people.

“Little more than a generation ago, United Nations staff were in Viet Nam delivering food aid to a country ravaged by war, isolated, and on the brink of famine,” he recalled.

“Today, it is Vietnamese peacekeepers coming to the aid of people in some of the most desperate parts of the world.”

Secretary-General António Guterres (second from right) and Nguyen Xuan Phuc (right), State President of Viet Nam meets with Vietnamese Peacekeepers during a ceremony commemorating the 45th anniversary of Viet Nam’s membership in the United Nations.

Service and sacrifice

Vietnamese “blue helmets” are serving in countries such as the Central African Republic, he said, risking their lives to bring peace and hope to people there, as well as the chance for a better life.

The country also provides double the global average of women peacekeepers serving under the UN flag.

The Secretary-General also saluted Viet Nam’s full commitment to achieving sustainable development.

Solidarity and cooperation

With the world in peril due to the COVID-19 pandemic and the impacts of the war in Ukraine, Mr. Guterres also addressed the need for justice, as well as greater solidarity and cooperation.

“And nowhere do we need it more – and more urgently – than in our fight against the climate crisis,” he said.

The UN chief emphasized that action on loss and damage is a moral imperative that must be front and centre at COP27.

Mr. Guterres was in the region for five days.

Prior to Viet Nam, he visited India, where he participated in a ceremony to mark the country’s 75th anniversary of independence, among other events.

He also travelled to the country’s first solar-powered village and saw how green energy is changing the lives of residents.

Source: United Nation