East Africa Cross Border Trade Bulletin (October 2022, Volume 39)

Maize grain remained the most traded commodity in the region in the third quarter of 2022 (July to September) as shown in Figure 1 above and trade flows remained above average due to below-average harvests amid high demand. Wheat flour trade declined from 16 to 10 percent from the previous quarter due to reduced demand following the erosion of purchasing power.

Regional trade in sorghum, rice, and dry beans was below average driven by below-average harvests and reduced trading margins, and cheaper substitutes.

The prices of staple food commodities followed seasonal patterns but were elevated given below-average harvests, high costs of production and marketing, and Russia-Ukraine conflict-related high global commodity prices.

Livestock trade between Ethiopia, Somalia, and Kenya declined because of the end of religious festivities in July and was below average due to a prolonged drought that reduced the number of quality animals in the market. However, trade increased between Uganda and South Sudan because of the high demand for rural restocking and urban consumption.

Source: World Food Programme

Gitega: Les femmes leaders des associations en formation sur l’élaboration des projets

Le Forum National des Femmes organise en province de Gitega, un atelier de formation de 2 jours du 02 au 03 novembre 2022, sur l’élaboration des projets à l’endroit des femmes leaders des associations de développement venues de toutes les communes du pays. Les activités de l’atelier ont été ouvertes par Donavine Niyonsaba, Directrice du département de l’égalité des genres qui a représenté le ministre en charge de la solidarité.

La vice- Présidente du Forum national des femmes Madeleine Bamwizere a indiqué que la formation organisée sur l’élaboration des projets à l’intention des femmes leaders des associations de développement est d’une importance capitale car elle leur permettra d’élaborer des projets rentables. Elle a ajouté que la formation leur permettra également d’élaborer des projets éligibles à la banque d’investissement et de développement pour les femmes BIDF créée en leur faveur afin qu’elles puissent contracter des crédits pour le financement de leurs projets d’investissement.

La Vice Présidente du Forum national des femmes Madeleine Bamwizere s’est dit confiante que ces femmes formées vont réussir étant donné que les études faites ont montré que les crédits contractés par les femmes ont beaucoup généré plus que ceux contractés par les hommes.

Quant à Donavine Niyonsaba, Directrice du département de l’égalité des genres qui a représenté le ministre en charge du genre, elle a fait savoir que la formation organisée par le Forum National des Femmes à l’endroit des femmes leaders des associations est une occasion leur est offerte pour réaliser leurs projets. Une occasion pour développer leurs familles en particulier et le pays en général, a-t-elle conclu.

Source: Radio Television Burundi

Pour un meilleur bien-être des rapatriés

Au cours de la table ronde sur le retour et la réintégration des réfugiés burundais de ce 2 novembre, les intervenants ont débattu sur la manière de soutenir les rapatriés burundais afin qu’ils deviennent autonomes.

« Celui qui a fui le mandat n’a pas raison de rester à l’extérieur », a déclaré Martin Niteretse, le ministre de l’Intérieur, du Développement Communautaire et de la Sécurité publique. D’après lui, la question de mandat est aujourd’hui historique. « Le mouvement de réfugié a commencé en 2015. Les gens ne pouvaient pas tenir sur le terrain du fait qu’il y avait trop de rumeurs et manipulation qui faisaient peur. »

Selon le ministre Niteretse, le gouvernement réaffirme le respect de rapatriement qui fait l’honneur pour le pays. « Il faut veiller à ce que le Burundi soit une destination mais pas le lieu de départ. Nous devons accueillir les fils et les filles du pays à bras ouverts. Chaque Burundais a la capacité de contribuer pour le développement du pays », souligne le ministre.

M. Niteretse fait savoir qu’il y a des gens qui profitent de la persistance des Burundais dans les camps des réfugiés et qui les incitent à ne pas regagner leur bercail. Et de se demander pourquoi les agences onusiennes refusent d’assister ceux qui sont rentrés dans le pays et acceptent d’appuyer ceux qui sont dans les camps.

Jean Claude Barutwanayo, gouverneur de Muyinga, l’une des provinces présentant plus de réfugiés trouve que les rapatriés ne sont pas bien accompagnés psychologiquement et matériellement. Il signale que les rapatriés de 2010 sont des réfugiés de 2015. Selon lui, le paquet de retour ne permet pas aux gens de s’auto-suffire. Il demande une amélioration des conditions de vie dans les zones de retour.

Les défis ne manquent pas

L’Abbé Gratien Niyuhire indique que le rapatrié vit une situation de frustration d’avoir abandonné ses biens et forcé de quitter son pays. « Même s’il rentre volontairement, le rapatrié vit dans une situation de peur, de blessure et d’agressivité s’il trouve une personne qui occupe sa maison », signale le prêtre. D’après lui, les agence de l’ONU et le gouvernement doivent créer des centres d’écoute pour libérer l’âme de cet état critique. Il exhorte les Burundais à conjuguer tous les efforts pour bâtir un pays de paix et de sécurité.

D’après Abdoul Karim Ghoul, représentant du Haut-commissariat aux réfugiés (HCR) au Burundi, les défis et les besoins pour satisfaire l’intégration définitive ne manquent pas. Entre autres, l’accès au logement, à la terre et la documentation civile reste difficile pour les rapatriés. Il indique que des gens retournés au cours de cette année reçoivent une ration de trois mois et des articles ménagers en fonction de la taille de la famille.

D’après Kelly T. Clements, la Haut-commissaire adjointe du HCR, le Burundi a retrouvé la stabilité et le HCR veut aider le gouvernement à soutenir la réintégration des rapatriés pour qu’ils ne soient pas dépendants de la communauté d’accueil.

Depuis avril 2015, plus de 400 mille personnes ont fui le Burundi vers les pays voisins. Depuis septembre 2017, le HCR a rapatrié plus de 200 mille Burundais.

Source: IWACU Burundi

CCTV+ : Script de « In the Name of Youth »

PÉKIN, 3 novembre 2022 /PRNewswire/ — Ruijin, berceau de la République populaire de Chine, a donné naissance à quantité d’innovations dans l’histoire. Le village de Songping est un site historique. Sur un mur, on peut lire quelques essais, aux lignes grossières mais au style délicat, qui semblent être des griffonnages d’élèves. En fait, ces essais ont été écrits par les soldats de l’Armée rouge, qui ont étudié ici il y a environ 90 ans.

Dans les années 1930, le Kuomintang a mené un « encerclement et une répression » militaires et un blocus économique féroces dans la zone soviétique centrale. En 1933, l’école de communication de l’Armée rouge des ouvriers et des paysans chinois a été créée sur la colline de Pingshan, dans le village de Songping, pendant cette guerre dévastatrice. Un groupe de jeunes soldats de l’Armée rouge, âgés de 16 à 17 ans, dont les connaissances ne dépassaient pas le niveau de l’école élémentaire, étudiaient assidûment la technologie radio afin de construire le réseau de communication de l’Armée rouge.

Quatre-vingt-dix ans se sont écoulés depuis. Les jeunes étudiants d’aujourd’hui ne sont sûrement pas en mesure de ressentir la faim et la soif de connaissances des jeunes de cette époque. Après 90 ans, nous ne pouvons plus déchiffrer ce que ressentaient les jeunes soldats lorsqu’ils ont peint ces graffitis sur ce mur. Cependant, on peut y voir des vestiges de leur vie. C’est ici qu’ont été consignées leurs voix fortes et leur jeunesse florissante. C’est au cours de ces années qu’ils se sont courageusement lancés sur le champ de bataille de la communication, après une brève période d’apprentissage.

Les adolescents d’autrefois sont devenus des silhouettes pâlissantes dans l’océan du temps, mais leurs essais inscrits sur ce mur sont encore clairs. Ce que ces traits rudes et délicats représentent, c’est l’esprit indélébile de l’Armée rouge. Après 90 ans, le souhait qui se cachait derrière ces graffitis s’est déjà réalisé. La loyauté, la foi, le dévouement et les sacrifices de générations de communistes ont permis le grand renouveau de la nation chinoise. Les ombres du passé sont révolues, mais la marque rouge sur la terre du Jiangxi ne s’est jamais effacée et restera toujours radieuse.

Vidéo – https://mma.prnewswire.com/media/1935979/Lyrics_of_In_the_Name_of_Youth.mp4

CCTV+, CIPCC hold Global Media Workshop to deepen understanding between Chinese, foreign media

BEIJING, Nov. 3, 2022 /PRNewswire/ — The CCTV Video News Agency (CCTV+) and the China International Press Communication Center (CIPCC) co-hosted the Global Media Workshop in Beijing on Wednesday to deepen mutual understanding between Chinese and foreign media outlets.

The event, under the theme of “New Journey to Modernization, New Chapter of Cooperation”, brought together 100 media representatives from 40 countries and regions.

“Visiting China has opened a window for us and set up a wonderful channel to learn about China truthfully. We can also share the Chinese method and practices to other countries with the help of the media,” said Ahmed Mohamed Saadeldin, anchor of Egypt’s Neil TV, as he shared his experience at the event.

Teng Yunping, president of CCTV+

Teng Yunping, president of CCTV+, gave a warm welcome to the global press corps in his opening remarks. He said that as an essential part of the China Media Group (CMG), CCTV+ has played a key role in publicizing the importance of the 20th CPC National Congress and expressed willingness to work together with media partners all over the world, to complement each other’s strengths and seek common development in the future.

“The event created a valuable exchange opportunity for both sides (CCTV+ and the CIPCC) and established a platform for strengthening exchanges and sharing communication experience on covering significant events,” said Yu Lei, director of the CIPCC, at the event.

media representatives

During the Case Study Session of the event, 14 delegates shared their opinions and reporting experiences in China. Some media representatives pointed out that Western countries have their own perspectives, while some noted that Western countries may have misunderstood or distorted news stories relating to China.

“Providing true news stories is the responsibility throughout our life career as journalists,” said Ruslan Kenjaev, deputy editor-in-chief of Uzbekistan’s Narodnoe Slovo (People’s Word) Newspaper.

“We are independent people. We should have our own judgment. Thus, we need to guarantee the truth and objectivity of news reports and be able to better convey the true China to our audiences,” said Francisca Martinez Mateo, reporter of Mexico’s Canal 6 TV.

After listening to the speech of President Xi Jinping at the 20th CPC National Congress, which gave an account of the huge developmental changes in China, international reporters who attended the Workshop said that they have learned more about the Chinese government’s management, plans and strategies for the next five years. This experience will help them to produce more accurate news coverage and media products to the world.

Tristan Duterte Nodalo from CNN Philippines said that with the modernization of journalism and the utilization of more digital approaches, journalists are now better equipped to tell and share a better story to the rest of the world.

Photo – https://mma.prnewswire.com/media/1936468/Teng_Yunping_president_CCTV.jpg
Photo – https://mma.prnewswire.com/media/1936469/media_representatives.jpg

‫تلفزيون الصين المركزي (سي سي تي في+): كلمات باسم الشباب

بكين، 3 نونبر/تشرين الثاني 2022 / PRNewswire / — أنشأت Ruijin ، أوج جمهورية الصين الشعبية، بدايات لا تعد ولا تحصى في التاريخ. قرية سونج بنج هي موقع تاريخي. كتب على الجدار بعض المقالات، خشنة في السطور ولكن أسلوبها رقيق، ويبدو أنها رسومات مبتكرة للتلاميذ. في الواقع، جنود الجيش الأحمر الذين درسوا هنا منذ حوالي 90 عامًا هم من كتبوا هذه المقالات.

في ثلاثينيات القرن الماضي، نفذ الكومينتانغ “تطويقًا وقمعًا” عسكريًا عنيفًا وحصارًا اقتصاديًا في المنطقة السوفيتية الوسطى. في عام 1933، تم إنشاء مدرسة الاتصالات للجيش الأحمر للعمال والفلاحين الصينيين في بينغشان هيل في قرية سونج بنج أثناء الحرب المدمرة. مجموعة من جنود الجيش الأحمر الشباب، تتراوح أعمارهم بين 16 و 17 عامًا، مستواهم أقل من مستوى المدرسة الابتدائية، درسوا بجدية تكنولوجيا الراديو لبناء شبكة اتصالات للجيش الأحمر.

لقد مرت 90 سنة منذ ذلك الحين. قد لا يكون الطلاب الصغار اليوم قادرين على الشعور بالجوع والعطش لمعرفة شعور الشباب في تلك الأيام. بعد 90 عامًا، لم يعد بإمكاننا فك رموز شعور الجنود الشباب عندما رسموا الشعارات على الحائط. ومع ذلك، يمكننا أن نرى آثارًا لحياتهم هنا. هذا هو المكان الذي تم فيه تسجيل أصواتهم المرتفعة وشبابهم المزدهر. خلال تلك السنوات، هرعوا بشجاعة إلى ساحة معركة التواصل فقط بعد فترة قصيرة من التعلم.

أصبح المراهقون ذات يوم شخصيات متلاشية في محيط الزمن، لكن مقالاتهم على الحائط لا تزال واضحة. ما تمثله الضربات القاسية والعطاء هو الروح التي لا تمحى للجيش الأحمر. بعد 90 سنة، تحققت بالفعل الرغبة وراء الكتابة على الجدران. أدى الولاء والإيمان والتفاني والتضحيات التي قدمتها أجيال من الشيوعيين إلى النهضة الكبيرة للأمة الصينية. لقد ولت ظلال الماضي، لكن العلامة الحمراء على أرض جيانغشي لم تتلاشى أبدًا وستظل دائمًا لامعة.

الفيديو – https://mma.prnewswire.com/media/1935979/Lyrics_of_In_the_Name_of_Youth.mp4