Security Council Press Statement on Attack against Multidimensional Integrated Stabilization Mission in Central African Republic

The following Security Council press statement was issued today by Council President Harold Adlai Agyeman

The members of the Security Council condemned in the strongest terms the attack perpetrated on 24 November against the United Nations Multidimensional Integrated Stabilization Mission in the Central African Republic (MINUSCA) near Obo, following which one peacekeeper from Morocco was killed.

The members of the Security Council expressed their deepest condolences and sympathy to the family of the peacekeeper killed, as well as to Morocco. They also expressed their condolences to the United Nations.

The members of the Security Council reiterated that attacks against peacekeepers may constitute war crimes and reminded all parties of their obligations under international humanitarian law. They called on the Government of the Central African Republic to swiftly investigate this attack with the support of MINUSCA, promote accountability for such acts by bringing perpetrators to justice and keep the relevant troop-contributing country informed of the progress consistent with Security Council resolutions 2518 (2020) and 2589 (2021). They stressed that involvement in planning, directing, sponsoring or conducting attacks against MINUSCA peacekeepers constitutes a basis for sanctions designations pursuant to United Nations Security Council resolutions.

The members of the Security Council reiterated their full support for MINUSCA and expressed their deep appreciation to MINUSCA’s troop- and police-contributing countries.

The members of the Security Council further stressed the importance of MINUSCA having the necessary capacities to fulfil its mandate and promote the safety and security of the United Nations peacekeepers, pursuant to Security Council resolution 2659 (2022).

The members of the Security Council reiterated their strong support for the Special Representative of the Secretary-General for the Central African Republic, Valentine Rugwabiza, and for MINUSCA to assist the Central African Republic authorities and the people of the Central African Republic in their efforts to bring lasting peace and stability, as mandated by the Security Council in resolution 2659 (2022).

Source: UN Security Council

Ukraine Response 2022 – Hungary: Displacement Surveys Refugees from Ukraine and TCNs (01 – 31 October 2022)

Women constituted 58% of respondents

The largest age group was between 18-29 years old (38%)

The 31% TCNs mostly originated from Nigeria (25%), Azerbaijan (18%), Turkmenistan (11%) and India (10%)

The most common areas of origin were: City of Kyiv (22%); Kharkivska (18%); Zakarpatska (11%)

60% of respondents travelled in group and 77% were separated from at least some immediate family members

432 respondents had identification documents. The majority (90%) held passports

52% of respondents had an occupation in Ukraine, while 21% had a job in Hungary

433 interviewees obtained secondary or higher education

Accommodation was the main reported need (40%)

How to find a job opportunity was the main information need (38%) and social media was the preferred communication means (76%)

The top final intended destinations were Hungary (34%), Germany (19%) and Austria (13%)

BACKGROUND

Since 24 February 2022, refugees from Ukraine and Third Country Nationals (TCNs) have been fleeing to neighbouring countries as a result of the war. 31,290 refugees from Ukraine and TCNs were registered in Hungary as of 8 November 2022, according to UNHCR

Source: International Organization for Migration

Insécurité à l’est de la RDC : Un « cessez-le-feu » déclaré à Luanda rejeté par le M23

Ce 23 novembre, les dirigeants de la région de l’Afrique de l’Est ont doublé leurs efforts pour mettre fin à la violence qui continue en République démocratique du Congo, demandant au groupe rebelle M23 de mettre fin aux attaques, de se retirer des zones conquises et de donner une chance au dialogue.

Selon The East African, après le mini-sommet présidé par le président angolais João Lourenço, médiateur désigné par l’Union africaine, les dirigeants de la région ont exhorté le M23 à « cesser le feu et se retirer des territoires occupés ».

Dans ce mini-sommet, les dirigeants ont convenu de mettre en place un mécanisme de désarmement et de cantonnement du M23 en territoire congolais sous le contrôle de l’armée congolaise (FARDC), de la force régionale et du mécanisme de vérification ad hoc, avec la collaboration de la Monusco.
« Lors du désengagement et du retrait du M23 sur ses positions initiales, le Kenya déploiera ses contingents à Goma, puis à Bunagana, Rutshuru et Kiwandja », lit-on dans le communiqué du mini-sommet.

Ils ont également demandé aux groupes armés étrangers opérant sur le sol congolais, notamment les FDLR-FOCA, RED TABARA, ADF et autres de déposer les armes immédiatement et d’entreprendre leur rapatriement inconditionnel.
« Si le M23 refuse de se désengager et de libérer tous les territoires qu’il occupe actuellement, les chefs d’Etat de l’EAC donneront instruction à la force régionale d’utiliser la force ».

Le sommet de mercredi a également réuni le président congolais Félix Tshisekedi, le président burundais Evariste Ndayishimiye, qui est aussi président en exercice de l’EAC, et l’ancien président kényan Uhuru Kenyatta, qui assure la médiation du conflit congolais au nom de la Communauté Est Africaine. Le Rwanda était représenté par son ministre des Affaires étrangères, Vincent Biruta.

Avant ces pourparlers de Luanda, les membres du Conseil de sécurité des Nations unies avaient demandé ce 22 novembre l’arrêt des combats, le retrait du M23 des zones occupées et la fin de « tout soutien extérieur aux acteurs armés non-étatiques, y compris le M23 », confie Actualité.Cd.

M23 : « Le cessez-le-feu ne nous concerne pas »

Le groupe rebelle M23 a déclaré ce 24 novembre qu’un cessez-le-feu annoncé la veille à Luanda « ne le concerne pas vraiment », tout en appelant à un « dialogue direct » avec le gouvernement de la République démocratique du Congo, écrit The East African.

« Le M23 a vu le document sur les réseaux sociaux… Il n’y avait personne au sommet (du M23), donc, ça ne nous concerne pas vraiment. Normalement, lorsqu’il y a un cessez-le-feu, c’est entre les deux parties belligérantes », a déclaré Lawrence Kanyuka, porte-parole politique du M23.

Lors d’un point de presse ce 24 novembre à Kinshasa, le ministre congolais des Affaires étrangères, Christophe Lutundula, a déclaré : « Demain, 18 heures, le M23 doit arrêter toutes ses attaques ».

Pour Lawrence Kanyuka, le M23 avait déclaré un « cessez-le-feu unilatéral » en avril dernier et pensait qu’il était toujours en vigueur : « Si demain à 18h00 (16h00 GMT), ou dans la matinée, le gouvernement ne nous attaque pas, nous serons toujours là. Sinon, nous nous défendrons ».
Selon lui, le M23 est toujours prêt à un dialogue direct avec le gouvernement congolais pour résoudre les causes profondes des conflits.

Interrogé par Actualité.Cd, Onesphore Sematumba, analyste du centre de réflexion International Crisis Group, s’est félicité que la réunion de Luanda se soit tenue, « ce qui n’était pas évident », selon lui, au vu « de l’escalade des tensions » entre Kinshasa et Kigali.
Il dit avoir fait deux constats dans le mini-sommet de Luanda : « Non seulement le M23 n’était pas là, mais le président rwandais Paul Kagame non plus. Leur présence était souhaitable ».

Jean-Claude Bambaze, président de la société civile de Rutshuru, territoire dont le quart sud-est, frontalier du Rwanda et de l’Ouganda, est occupé par le M23, croit que les rebelles vont se retirer : « Nous avons des inquiétudes, parce que cela ne serait pas la première fois que des décisions ne soient pas mises en pratique ».

Rwanda : Louise Mushikiwabo réélue pour un second mandat au poste de Secrétaire général de l’OIF

Cette semaine, le journal en ligne Igihe est revenu sur la réélection de la Rwandaise Louise Mushikiwabo au poste de secrétaire général de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).
Mushikiwabo a été réélue samedi 19 novembre 2022 lors du 18ème Sommet des chefs d’Etat de la Francophonie tenu à Djerba en Tunisie, il s’est tenu du 19 au 20 novembre 2022, écrit ce quotidien rwandais.

Au cours de son premier mandat, l’organisation a subi des réformes visant à trouver des solutions durables aux problèmes urgents auxquels le monde est confronté, notamment les menaces à la sécurité et la dégradation de l’environnement.
Mushikiwabo a souligné que l’OIF attirera dans les années à venir l’attention sur des projets dans les domaines de l’éducation, de la technologie, du commerce et de l’économie promettant de favoriser la création d’emplois pour les jeunes.

L’OIF comprend 88 Etats et gouvernements membres. Parmi eux, 54 Etats et gouvernements sont membres à part entière, 7 sont membres associés et 27 sont observateurs.

Avant de rejoindre l’OIF, Louise Mushikiwabo a occupé divers postes au Rwanda, notamment celui de ministre de l’Information, ministre des Affaires étrangères et celui de porte-parole du gouvernement.

Son regard sur les tensions entre la RDC et le Rwanda

Le secrétaire général de l’OIF déplore qu’il y ait des groupes armés en RDC juste à la frontière avec le Rwanda qui menacent la sécurité du Rwanda. Elle fait référence aux FDLR dont les membres sont accusés d’avoir perpétré le génocide de 1994 contre les Tutsis, écrit The New Times.

Elle rappelle qu’à un certain moment, le Rwanda et la RDC, l’Ouganda, le Burundi et les pays de la région avait décidé qu’il fallait se débarrasser de tous ces groupes armés : « Pourquoi cela n’a-t-il pas été fait ? Il faudrait revenir aux accords signés qui existent depuis plus de 10 ans et les mettre en pratique ». Selon elle, la solution durable proviendra de la volonté politique ».
Interrogée si son organisation souhaitait établir une mission sur la crise en République démocratique du Congo, Mushikiwabo s’est demandée si cela était nécessaire : « Nous avons plusieurs initiatives sur la crise ».

Ouganda : Le district de Mubende marque 21 jours sans cas d’Ebola

Les dirigeants de Mubende sont optimistes que le district sera bientôt déclaré exempt d’Ebola après n’avoir enregistré aucun cas au cours de la période d’incubation de 21 jours.

« Nous sommes maintenant à mi-chemin de la période obligatoire de 42 jours fixée par l’OMS. Cela nous donne beaucoup d’espoir. Je félicite les habitants de Mubende pour leur travail d’équipe et leur détermination à combattre Ebola de notre région », a déclaré à Daily Monitor, Rosemary Byabashaija, commissaire résidente du district et présidente du détachement spécial pour la lutte contre l’Ebola au district de Mubende.

Le district ne compte qu’un seul patient Ebola alors que le dernier cas confirmé a été enregistré le 31 octobre, selon les dossiers de l’unité de traitement Ebola de l’hôpital régional de référence de Mubende.

La députée du district, Grania Hope Nakazibwe, a exhorté les habitants et les équipes de santé à rester vigilants : « La situation peut être inversée par un seul nouveau cas d’Ebola. Nos équipes de surveillance médicale, les traceurs de contact, les équipes d’inhumation et le groupe de travail ne doivent pas se relâcher. C’est le moment d’engager les communautés à respecter les directives sanitaires établies ».

Selon Daily Monitor, Mubende a enregistré 63 cas confirmés d’Ebola, 29 décès d’Ebola confirmés, 19 décès probables d’Ebola et six agents de santé perdus. Ce district a enregistré 32 cas cumulés de guérison.

La ministre ougandaise de la Santé, Jane Ruth Aceng, a demandé aux agents de santé de l’unité de traitement Ebola de Mubende, qui ont menacé de déclencher une grève à partir de ce 24 novembre en raison d’indemnités non payées, d’être patients.

« Je comprends les préoccupations des travailleurs de cette unité de traitement d’Ebola. Permettez-moi de dire clairement qu’il n’y a aucune somme d’argent qu’on puisse payer un agent de santé qui se sacrifie pour donner des services aux personnes malade. Cette allocation de risque de 80 mille shillings n’est pas de l’argent. C’est juste pour s’assurer que leurs familles restées aient l’argent pour acheter les produits de première nécessité ».
Elle rappelle que les grèves ne sont pas la meilleure option pour résoudre les problèmes.

Kenya : Deux blocs à l’Assemblée nationale sur le licenciement des commissaires de la commission électorale

Une confrontation se profile à l’Assemblée nationale alors que les audiences sur quatre pétitions demandant la révocation de quatre commissaires de la commission électorale kényane (IEBC) ont commencé ce 24 novembre. La motion oppose les députés de la coalition Azimio de Raila Odinga à ceux de l’Alliance Kenya Kwanza du président William Ruto, confie The Nation.

La commission de la justice et des affaires juridiques doit examiner les pétitions demandant la révocation de la vice-présidente de la Commission indépendante des élections et des frontières (IEBC), Juliana Cherera, et des commissaires Justus Nyang’aya, Irene Masit et Wanderi Kamau.

Les quatre commissaires ont rejeté les résultats des élections présidentielles de ce 9 août déclarés par le président de la commission, Wafula Chebukati, qualifiant d’opaque le processus de vérification et de décompte final.
Ce 23 novembre, les députés d’Azimio ont boycotté les audiences, qualifiant l’ensemble du processus d’illégal et accusant le comité d’être utilisé pour évincer les quatre commissaires.

« Nous ne pouvons pas participer à une illégalité. Ils peuvent s’asseoir seuls ou si nous y allons, nous perturberons la réunion », a fait savoir un député de la Coalition Azimio de Raila Odinga.

Selon The Nation, Azimio et Kenya Kwanza ont élaboré une stratégie pour former le prochain front de la bataille politique entre le président Ruto et Odinga.

Azimio prévoit de faire pression pour accélérer la pétition demandant la destitution du président de la commission électorale Chebukati et des commissaires Boya Molu et Abdi Guliye.

La coalition dirigée par Raila souhaite que la pétition contre les trois commissaires soit examinée avant les vacances parlementaires de décembre.

Source: IWACU Burundi

Cataracte : « un problème de santé dans le pays », selon le ministère de la Santé publique

Une vision floue, diminution de l’acuité visuelle, telles sont les premiers symptômes de la cataracte. Confrontés à de nombreux défis, les personnes souffrant de cette maladie, saluent la campagne ophtalmologique humanitaire lancée par l’association saoudienne Al Basar lancée à Bujumbura depuis ce 25 novembre.

9 heures sur l’avenue de la Santé menant vers l’Hôpital Prince Régent Charles. Une longue file indienne, de personnes de tout âge se fait remarquer depuis l’entrée de cette avenue jusqu’à l’intérieur de la cour de cet hôpital, devenue au bout de quelques heures, noire de monde. Ils sont tous venus se faire soigner de la cataracté. Une maladie d’opacité du cristallin.

Ismaïl Bigirimana, de la zone urbaine de Buyenzi, révèle qu’il a été dépisté de cette maladie à l’âge de 14 ans. À cette époque, témoigne sa mère, ils n’avaient pas d’argent pour lui acheter des lunettes, qui lui avait été prescrit par le médecin.

Faute de moyen, Ismaïl a été contraint d’arrêter ses études, une année et demie, après le dépistage de la cataracte. « Je n’arrivais plus à voir au tableau, car la vision devenait de plus en plus floue ».

Même cas pour Patrick, 22 ans originaire de la province de Muyinga. Lui aussi a arrêté ses études à cause de la cataracte dépistée dans son jeune âge.

Espérance de la commune Buganda, dont la mère souffre de la cataracte dans les deux yeux depuis 2019, déplore la cherté du traitement. « Nous sommes des cultivateurs, acheter un traitement pour plus de 60 mille FBu, c’est énorme pour nous », confie-t-elle.

« La cataracte est un fléau dans le pays », a indiqué l’assistant de la ministre de la Santé publique. « Des efforts doivent être conjugués afin d’éradiquer cette maladie », a-t-il ajouté.

« J’appelle le personnel soignant qui va aider dans cette campagne d’en profiter pour y acquérir de l’expérience pour ne plus faire recours à l’intervention des médecins venus de l’étranger, plus question de faire venir des étrangers dans l’avenir », un appel de l’assistant de la ministre de la Santé publique.

Au cours de cette campagne d’une semaine, l’association Al Basar compte soigner 500 personnes. Et de préciser que lors de la première campagne en 2021, l’association avait soigné plus de 400 personnes atteintes de la cataracte.

Source: IWACU Burundi

Burundi says it will not allow importation of GMO products

BUJUMBURA, The Burundi government has indicated that it will not allow the importation of genetically modified organisms (GMOs) into the country despite some East African Community member states opening up for the products.

“GMO is not allowed in Burundi, not even importing them; they are totally prohibited. It’s only the hybrids and even [for] the hybrids, you have to get an authorisation to import,” the director-general of mobilisation for self-development and agriculture extension Clement Ndikumasabo said.

This comes as Kenya has for the first time allowed for the importation of genetically modified maize to address the food crisis in the country where millions are said to be at risk of starvation. However, this has been met with opposition from certain quarters, especially by leaders from the country’s maize-growing Rift Valley region.

At least 4.2 million Kenyans, especially in pastoralist areas, are facing hunger due to severe drought that has persisted for prolonged periods, leading to food shortage.

“Indeed, there is no sound justification for this as the region has the capacity and capabilities to produce non-GMO products. Our message is clear that we should encourage and promote organic products as opposed to GMOs,” said John Bosco Kalisa the East African Business Council CEO.

With Burundian law prohibiting the importation of genetically modified products, experts have warned that lack of proper equipment may see GMOs imported into the country.

Willy Irakoze, a research director at the Burundi Institute of Agronomic Science (ISABU), decried the absence of equipment capable of detecting the entrance of GMOs into the country, calling for better ways to protect the lives of Burundians and the environment.

“The GMO is not eligible in Burundi but what is worrying is that at the border or at the airport, we do not have equipment and personnel capable of detecting if it is the GMO that is entering or not. So, it is difficult to say that there are no GMOs in Burundi,” he said.

According to the Burundian government, a batch of 120 tonnes of PAN 53 maize seeds was received at the Kobero border in Muyinga Province from Zambia while another six hundred tonnes are on the way.

Irakoze admitted that hybrid corn is more profitable in terms of production than composite maize and that the certified hybrid corn can contribute to the change of farmers’ lives “because they are three to four times more profitable in terms of production than composite maize”.

Burundi currently imports PAN 53 maize seeds while some local companies produce the Longe 7 H seeds, the type of certified corn in Burundi that meets the same characteristics as PAN 53 in terms of production. According to agriculturalists, both PAN 53 and Longe 7H are not GMOs.

“As mentioned earlier, they are hybrids which means that they have been selected because they meet desirable characteristics, such as disease resistance,” Irakoze.

“GMO means that before cross-breeding it, we import the gene from an organism (another species) other than maize or simply we import the gene from an animal and we inject it into the corn,” he explained.

“It is urgent for the government to strengthen the institutions that control quarantine so that imported food is subjected to analysis in well-equipped laboratories but also with personnel who also have the necessary means and the capacities required,” he added.

According to ISABU, Burundi should invest in the establishment of laboratories and capacity building on the plant protection department and the Burundi Bureau of Standards.

“First of all, you must ensure that biosafety has been well controlled, this means that after injecting a GMO from another organism into a plant such as corn, it can cause metabolites that are very harmful to human health. These metabolites produced must be checked before releasing them to be sure at 100 percent that there is no negative impact on human health or the environment,” said the ISABU research director.

Source: Nam News Network

RDC/FIZI : 40 combattants du FNL neutralisés par la Force régionale de l’EAC et les FARDC au Sud-Kivu

L’armée congolaise et des éléments du Contingent burundais envoyé au Sud-Kivu à l’Est de la RDC dans le cadre de la Force régionale de l’EAC, la Taskforce dans la partie sud du Sud-Kivu ont conjointement mené une «’’opération offensive à haute intensité’’ contre le groupe armé étranger, le Front national de la libération (FNL) dirigé par le Général burundais autoproclamé Aloys Nzabampema », a fait savoir ce dimanche 27 novembre le porte-parole des opérations Sukola II, axe Sud de la province du Sud Kivu, le lieutenant Marc Elongo.

Selon lui, la Taskforce (FARDC-FND) a pour mission de traquer de tous les groupes armés locaux et étrangers. Elle a attaqué les éléments du FNL et les a délogés de toutes les quatre collines surplombant la localité de Nabombi, un ancien poste de commandement et la base logistique du Général Aloys Nzabampema.

« Ces hommes armés ont été délogé et étaient en cavale et ce sont réfugiés dans la forêt d’Itombwe en territoire de Mwenga sans aucune issue après avoir subi une forte perte en hommes et matériels (40 assaillants neutralisés) », a précisé le lieutenant Marc Elongo.

D’après lui, les forces loyalistes de la Taskforce sont actuellement en consolidation de la localité de Nabombi et mènent des opérations en profondeurs en vue de projeter une manœuvre future afin de mettre cette force négative hors d’état de nuire.

Le commandant du secteur opérationnel Sukola II Sud, Sud-Kivu, le Général major Ramazani Fundi appelle la population du moyen et haut plateaux d’Uvira à collaborer avec les forces loyalistes afin de mettre un terme à l’existence de ces groupes armés locaux et étrangers dans la partie sud du Sud-Kivu et interpelle les jeunes à se désolidariser des groupes armés et à répondre positivement à l’appel à la mobilisation lancé par le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi.

Signalons que le Chef de l’Etat burundais, Evariste Ndayishimiye en même temps président en exercice de l’EAC est à Nairobi pour prendre part à la reprise des consultations politiques dans le cadre du Processus de Nairobi pour la Paix et la Sécurité en RDC. Il s’est entretenu ce dimanche avec son homologue kényan, William Ruto.

Source: IWACU Burundi