Réunion virtuelle entre le Ministère des Finances, du Budget et de la Planification Economique, la Société Sucrière de Moso et l’AFRIXIMBANK

Une réunion s’est tenue virtuellement entre le Ministère des Finances, du Budget et de la Planification Economique, la Société Sucrière de Moso (SOSUMO) et l’AFRIXIMBANK le vendredi 21 mai 2022. Les échanges ont porté sur la présentation du projet de Réhabilitation, Modernisation et Extension de la SOSUMO. Le besoin de financement de ce projet soumis à   l’AFRIXIMBANK est évalué à un montant de 58,7 millions de dollars américains.

Le Directeur de l’Agriculture a précisé que l’objectif premier dans le montage du projet est d’assurer l’augmentation du rendement de la canne à sucre pour atteindre une production de 35 mille tonnes de sucre par campagne. Pour atteindre cet objectif, les principales activités envisagées sont les suivantes :

Mise en place d’un système d’irrigation

L’acquisition des équipements agricoles appropriés pour aménager les terres

La mise en place d’un laboratoire moderne pour mieux suivre les paramètres de production

La recherche Agronomique pour améliorer le matériel végétal et la fertilisation de la canne à sucre.

Source: Ministry of Finance

Réunion de SERVICE

Son Excellence Monsieur le Ministre des Finances, du Budget et de la Planification Économique a tenu une réunion DE SERVICE à l’endroit des Hauts Cadres de ce Ministère ce lundi 23 mai 2022. Le ministre leur a exhorté de transmettre à temps les rapports d’activités chacun en ce qui le concerne et leur recommandé de toujours travailler en synergie pour atteindre les résultats escomptés.

Source: Ministry of Finance

Entretien avec la délégation de la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale

En date du 20 mai 2022, dans son Cabinet, le Ministre des Finances, du Budget et de la Planification Economique a reçu en audience une délégation de la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale (BDEAC). L’objectif de cette visite était d’échanger sur les modalités de financement des projets prioritaires que le Gouvernement a soumis à cette banque pour financement. Cette délégation était composée par   le chef de Division et du secteur non Marchand (Chef de Délégation), la cheffe de Division de la gestion des risques, l’économiste des transports, un Environnementaliste et un Juriste.

Le Ministre des Finances, du Budget et de la Planification Economique a d’abord souhaité la bienvenue aux Membres de la délégation et a ensuite apprécié la spontanéité de la BDEAC en rapport avec son engagement à soutenir le Burundi dans son programme de développement social et économique, un signe qui montre que la coopération entre le Gouvernement du Burundi et la BDEAC est prometteur.

Source: Ministry of Finance

Mairie de Bujumbura : Des conducteurs des deux-roues et tricycles se disent être dans la tourmente

Deux mois après l’entrée en vigueur de la mesure de délimitation de l’espace de circulation des vélos, motos et tuk-tuk, les conducteurs dénoncent les méfaits de cette mesure et demande au gouvernement de la revoir. L’administration se dit plutôt satisfaite.

« Je vais mourir de faim alors que j’ai mon vélo et la force pour travailler. Depuis le matin, j’ai seulement 600 BIF. Comment vais-je manger le midi et le soir ? », s’exprime avec amertume un conducteur de vélo rencontré à Mutakura en commune Ntahangwa à 10 heures de ce 20 mai.

Il confie qu’avant la nouvelle délimitation, il pouvait facilement obtenir entre 10 et 15 mille BIF : « Après cette mesure, on ne peut pas avoir même 3.000 BIF ». Et de demander à l’administration de laisser les deux-roues et tricycles accéder aux marchés de Cotebu et Bujumbura City Market.

Pour lui, subvenir aux besoins de sa famille est devenu un casse-tête : « J’ai une femme à Ngozi. Elle sait bien que je travaille à Bujumbura. Qu’est-ce que je lui dirais de retour à la maison ? Elle me dira que j’ai des concubines à Bujumbura ».

Même son de cloche avec un conducteur de tricycle. Ce dernier témoigne qu’il ne peut plus donner les 25 mille BIF de versement journalier au propriétaire de son tuk-tuk : « Avant la mesure, on pouvait obtenir plus ou moins 60 mille BIF par jour. Malheureusement après la nouvelle délimitation, je reçois à peine 15 mille. Avec cette somme, il est impossible de s’approvisionner en carburant, prendre en charge ma famille et donner le versement au propriétaire ».

Il regrette que dans les quartiers, les passagers préfèrent se déplacer avec les motos ou les vélos. Pour lui, cela défavorise les tricycles. Et de demander au gouvernement d’accorder plus d’espace de circulation aux tricycles.

« La pénurie du carburant aggrave la situation »

Pour un conducteur de moto rencontré dans la zone Kamenge de la même commune, la vie a tellement changé : « Avant la mesure, le versement était de 15 mille BIF par jour, mais on l’a réduit jusqu’à 10 mille ».

Selon un autre conducteur de moto, la situation s’est aggravée avec pénurie du carburant : « Nous devons parcourir des longs trajets portant des réservoirs des motos à la quête du carburant. Sur les stations, on nous chasse, nous malmène. On dirait que nous ne sommes pas des citoyens burundais ».

Avec la hausse des prix du carburant, certains conducteurs des motos disent qu’ils ne parviennent même pas à obtenir 5 mille BIF par jour. Ils appellent au gouvernement de revoir sa mesure et les laisser circuler jusqu’au pont Ntahangwa comme avant.

Dans une réunion de ce 12 mai, le maire de la ville de Bujumbura, Jimmy Hatungimana a confié au ministre de l’Intérieur que les conducteurs des deux-roues et tricycles opérant dans le nord de la ville saluent la mesure de délimitation de leur espace de circulation.

« Ils ont élargi leurs espaces de circulation vers les provinces de l’ouest du pays. Ils témoignent qu’ils peuvent aller jusqu’à Muzinda transportant des marchandises et du fourrage. Leur seul problème est que le pont séparant les provinces de Bubanza et Bujumbura n’est pas encore réhabilité », a-t-il soutenu.

Source: IWACU Burundi

Russian-speaking communities in New York rally for Ukraine

Walk the streets of Brighton Beach, Brooklyn, Queens and other areas in New York City and you’ll likely see signs in Russian and English, along with plenty of support for Ukraine.

New York City is home to 600,000 Russian-speaking immigrants, the most of any U.S. city. And many here — as well as others in communities across America — are aghast at what they see happening in Ukraine.

Alexander Korzun, who organized a rally in late March in Brighton Beach, told the Brooklyn Paper, “As Russians we do want to say that we are strongly against this war, we condemn Putin’s aggression and those who support this war. And we stand with Ukraine.”

He noted that his community was using “an opportunity to speak freely here in New York” to say what many in Russia are too afraid to say for fear of being arrested: that the war is wrong and must end.

Many residents of Brighton Beach and other neighborhoods left the Soviet Union starting in the 1970s and came to the New York City area fleeing religious and political persecution and pursuing new economic opportunities.

Long-time resident Leonid Pevzner told The Washington Post that he came to Brighton Beach 30 years ago. “I didn’t like where Russia was going economically, and I needed to find an opportunity to work.” Now Pevzner runs Brighton Care Pharmacy, just blocks from the beach, supporting his family and, like many other residents, staying in touch with family and friends back in Russia.

Across the decades, thousands settled in Brighton Beach, where they would find comfort in the diverse community, sharing culture and traditions from across all regions of the former Soviet Union. With a large percentage of the immigrant population coming from the Ukrainian Soviet Republic, the neighborhood got the nickname “Little Odesa,” after the Ukrainian port city on the Black Sea.

As the neighborhood grew, it began to feel like home. Russian and Ukrainian restaurants, Georgian bakeries, Orthodox churches, and international markets featuring homemade food and imported goods popped up on street corners.

Many also came to the New York City area knowing they would find community and stability among others speaking Russian, Ukrainian, Uzbek and Georgian, along with other languages of the former Soviet republics.

During the Soviet era, Russian was the primary language among the Soviet Union’s 15 republics, as imposed by Moscow, while many spoke one of the over 120 native languages of the USSR at home. Even today, less than a quarter of Brighton Beach residents were born within the United States, and thousands continue to migrate here from Russia and the surrounding nations each year.

Lisa Aronova, who came to the United States from Uzbekistan about 30 years ago, has seen the impact of Russian state media on populations in Russia. “They are lying, lying. Everything whatever they say, it is all lies. The normal, regular people who live there [in Russia], they don’t get all that information what we have,” she told National Public Radio in April while in Queens, a borough of New York City.

Donovan Richards, the Queens borough president, traveled to Ukraine in 2021 and has stayed in touch with people he met there. “To the Ukrainian-American community here in Queens, we firmly stand in solidarity with you against this invasion. If you need a space to gather or mourn, our doors at Queens Borough Hall are open. To the Russian-American families who call Queens home, we know this is not your war — it is Putin’s and Putin’s alone. You have our full support and love as well.”

Source: U.S. Embassy in Burundi

L’Assemblée nationale du Burundi lance avis d’appel à candidature pour le remplacement de deux Commissaires membres de la Commission Nationale Indépendante des Droits de l’Homme (CNIDH) en sigle. Les termes de référence détaillés peuvent être téléchargés en cliquant sur le lien ci-dessous.

Source: National Assembly o

Lors d’une conférence de presse tenue ce lundi à l’Aéroport International Melchior Ndadaye, le Chef de l’Etat Son Excellence Evariste Ndayishimiye, qui accompagnait son Homologue de la RDC au terme d’une visite officielle de 3 jours au Burundi, a tenu à lui rendre hommage pour ses efforts à asseoir la paix dans son pays et à promouvoir l’intégration régionale.

« Nous encourageons Notre Frère pour le processus de paix, pour le processus d’ouverture avec les pays de la région et surtout pour les négociations entamées avec les rebelles pour restaurer la paix à l’Est du Congo », t-il souligné après l’avoir remercié pour cette visite qui, selon lui, témoigne son engagement et son amour envers le peuple Burundais.

Le Président Ndayishimiye a en outre déclaré que le Burundi et la RDC  entretiennent  de bonnes relations  historiques d’amitié et de coopération, exprimant sa satisfaction que ces relations ont été cimentées depuis 2021.

Vu la crise qu’ a traversé le Burundi et son expérience dans le processus de paix et la réconciliation, Son Excellence Ndayishimiye a promis à son homologue Congolais que le Burundi ne ménagera aucun effort pour soutenir le peuple frère Congolais.

« En tant que panafricanistes, il est temps que les leaders africains commencent à renforcer la coopération sud-sud », a lancé le Président Ndayishimiye interpellant  les dirigeants africains à unir leurs forces en vue de la stabilisation et le développement du continent en général et  celui des pays en particulier.

Avant de s’envoler pour Kinshasa, le Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Antoine Tshisekedi Tshilombo a, de son côté, réitéré son appréciation pour l’accueil chaleureux qui lui a été réservé avec sa délégation.  Il a par ailleurs exprimé sa volonté de vouloir rapprocher les deux peuples et développer davantage les relations entre le Burundi et la RDC.

« Je n’ai pas peur de le dire, ce qui se fait au Burundi mérite d’être regardé et d’être encouragé », a martelé le Chef de l’Etat Congolais avant de féliciter son Homologue  du Burundi pour les progrès réalisés dans son pays en matière de développement après que le Burundi ait été injustement placé sous sanctions, a -t-il indiqué.

Il sied de signaler qu’avant de clôturer sa visite officielle qui lui a permise de s’enquérir des différents projets en cours de réalisation au Burundi, le Numéro Un Congolais en compagnie de Son Homologue Burundais et les distinguées Premières Dames, a visité la « Life Way », une ferme d’élevage moderne ayant une capacité de production de 2500 litres de lait par jour ainsi que l’usine « FOMI » dotée d’une capacité de fabrication de 150 miles fertilisants organo-minéraux par an , toutes les deux opérant en Province de Bubanza.

Source: Ntare Rushatsi House

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